Les pratiques agroécologiques à la loupe
Chercher les documents par objectif agroécologique
Cliquez sur les pratiques agroécologiques ci-dessous pour visualiser les documents associés : extraits de témoignages d'agriculteurs (textes et vidéos), synthèses techniques SOLAGRO, articles et ouvrages ressources, blog des agriculteurs
Allongement de la rotation et diversification de l'assolementTémoignage vidéo de Guillaume JOUBERT (Grandes cultures, agriculture de conservation, maraîchage - 83560 - Vinon-sur-Verdon)
Guillaume Joubert nous explique comment il gère les adventices tout en préservant son sol au maximum.
Extrait du témoignage de Roger et Denis BEZIAT (Grandes cultures - 31810 - Vénerque)
L'allongement de la rotation a été pensé en parallèle de l'adoption des Techniques Culturales Simplifiées (TCS). Cette re-conception du système de cultures s'est accompagnée d'un regroupement du parcellaire en 6 îlots de 20 à 30 ha en moyenne afin d'équilibrer le poids de chaque production dans l'assolement.
Extrait du témoignage de Philippe GUICHARD (Grandes Cultures - 47440 - Pailloles)
La rotation n'est pas prédéfinie, Philippe Guichard l'adapte en recherchant les conditions optimales d'implantation. « Privilégier les conditions de mise en place, c'est la clé de 50 % du rendement ». Une rotation longue et riche en légumineuses sont des éléments essentiels à respecter pour fonctionner sans engrais et sans produit phytosanitaire.
Extrait du témoignage de Jean et Cyril HAMOT (Grandes Cultures - 32220 - Montadet)
Deux rotations ont été mises en place et adaptées à sa ferme (coteaux / plaines). La rotation sur coteaux a évolué sur les 2 dernières années pour y implanter des espèces moins sensibles au manque d'eau (introduction de l'avoine et du sorgho en complément du tournesol et du colza).
Extrait du témoignage de Patrick et Jonathan KIRCHNER (Polyculture-élevage ovins viande - 31470 - Fontenilles)
L'assolement a évolué lors de la remise en question de ses pratiques : initialement les céréales et les prairies représentaient chacune 50 % de la sole cultivée. Aujourd'hui, les Prairies Temporaires (PT) représentent près de 90 % de la sole. La rotation choisie a pour double objectifs d'assurer l'auto-fertilité des sols et de maximiser l'autonomie alimentaire du troupeau (hors estive).
Extrait du témoignage de Jack et Kévin DE LOZZO (Polyculture-élevage - 32130 - Noilhan)
L'assolement est très évolutif en fonction de l'état des parcelles, de la qualité du sol et des conditions pédoclimatiques : Jack peut décider de changer la destination de certaines parcelles si les objectifs de préservation des sols et de récolte ne sont pas atteints (pour des raisons climatiques par exemple).
Extrait du témoignage de Alex FRANC (Arboriculture-Grandes cultures - 09700 - Saint-Quirc)
La rotation de 10 ans peut varier en fonction des débouchés. La luzerne fait office de tête de rotation pendant 5 ans puis un blé tendre est implanté suivi d'une céréale à paille. En année 8 et 9, du soja est semé avec un couvert intermédiaire entre les deux années. La rotation se termine par une céréale à paille.
Extrait du témoignage de Amandine et Nicole BREQUE (Bovins viande et grandes cultures - 31430 - Saint-Araille)
Extrait du témoignage de André, Alain et Christian Paulin (Bovins lait et viande, porcs - 81990 - Puygouzon)
Extrait du témoignage de Exploitation du lycée agricole d'Auzeville (Grandes cultures - 31326 - Castanet-Tolosan)
Extrait du témoignage de Céline et François Peloquin (Grandes Cultures - 16240 - Villefagnan)
Extrait du témoignage de Guillaume JOUBERT (Grandes cultures, agriculture de conservation, maraîchage - 83560 - Vinon-sur-Verdon)
Extrait du témoignage de Patricia Corsini, Luigi et Jean-Jacques Mathieu (Production de vaches allaitantes avec diversification de légumes plein champ en AB Race Gasconne avec une partie du troupeau en reproducteur - 11140 - MAZUBY)
Extrait du témoignage de Michel KERVAREC, Martine VERGER (Polyculture élevage (volailles de chair et pondeuses, bovins viande) - 35310 - CHAVAGNE)
Le projet Terres de Sources : Protéger durablement la ressource en eau
Eau du Bassin Rennais est l'autorité organisatrice du service de l'eau potable sur le Bassin Rennais et gère 16 captages d'eau. Ce syndicat mixte regroupe Rennes Métropole et six communautés de communes qui représentent 76 communes et 530 000 habitants, Les bassins versants d'alimentation en eau potable du Bassin Rennais représentent une surface d'environ 1500 km2, et concernent environ 2000 exploitations agricoles dont les systèmes de production principaux sont : bovin lait, porc et volaille. Ce webinaire a été animé par Philippe Pointereau, Délégué au développement à Solagro. Enregistrement du webinaire Foire aux questions
Etudes des impacts environnementaux des légumineuses à graines biologiques
Solagro. Casdar ProtéAB
Chataignon M., Gimaret M., 2014.
8 p.
Autres ressources
La culture de la féverole en AB
Fiche technique 2014 ITAB
Chaillet I., Biarnès V., Fontaine L., Chataignon M.
ITAB. Casdar ProtéAB. 12 p.
La culture du pois protéagineux en AB
Fiche technique 2014 ITAB
Chaillet I., Biarnès V., Fontaine L., Chataignon M.
Casdar ProtéAB. 8 p.
Cultiver des légumineuses pour réduire l'utilisation d'intrants de synthèse
ADEME, 2015, 11p.
Guide de la nouvelle agriculture sur Sol Vivant : L'agriculture de conservation
Sans labour avec couverts, légumineuses et rotations.
D Soltner, 2015. Collection Sciences et techniques agricoles. 120 p.
Peut-on se passer des pesticides ?
Jean-Marc Meynard, directeur de recherche à l'Inra, a écrit un ouvrage « Produire autrement » en 1980, avant que ce slogan ne devienne celui de Stéphane Le Foll. Il a livré, à l'occasion de l'Exposition universelle de Milan, son avis sur la nécessité d'utiliser des pesticides en agriculture et sur la possibilité de s'en passer.
Témoignage vidéo de Jack et Kévin DE LOZZO (Polyculture-élevage - 32130 - Noilhan)
Sur la ferme du Chalet, les espèces sont associées en une multitude de combinaison pour des débouchés variés (coopérative, alimentation bovine, semences pour les couverts végétaux). Jack De Lozzo aborde l'intérêt des associations et les points clés de leur mise en œuvre technique jusqu'au triage !
Témoignage vidéo de Philippe GUICHARD (Grandes Cultures - 47440 - Pailloles)
Lors d'une visite organisée sur les parcelles de Philippe Guichard, les associations de cultures sont à l'honneur : blé dans la luzerne vivante, blé – lentille, lentille – cameline. Philippe Guichard, agriculteur dans le Lot-et-Garonne et Eric Justes, ingénieur de recherche INRA Toulouse s'expriment sur les bénéfices de ces associations. Amélioration de la production, des propriétés du sol et des cultures récoltées, les associations de cultures représentent un véritable levier agronomique pour la production biologique notamment !
Témoignage vidéo de Blandine et Vincent ARCUSA (Céréales panifiables, pain, fourrages et pois chiche - 83170 - TOURVES)
Blandine Arcusa de la Ferme de la Reyne dans le Var nous détaille ses pratiques agroécologiques et comment, avec son mari Vincent, elles leur permettent de produire un pain de qualité tout en préservant la biodiversité et l'écologie.
Atteindre l’autonomie protéique en polyculture élevage avec les cultures associées - Novembre 2023
Les cultures associées concernent généralement au moins une légumineuse et une céréale. Leur culture simultanée présente de nombreux avantages : notamment un rendement plus élevé que la moyenne des cultures pures mais aussi plus stable (grâce à la compensation entre espèces et la facilitation) et une réduction des adventices par rapport à la culture pure de légumineuses seules. L'association de cultures répond aux enjeux d'une agriculture plus durable, mais une des principales difficultés à leur intégration est la capacité à récolter et séparer les grains. Les mélanges ne peuvent souvent pas être commercialisés en l'état pour l'alimentation humaine, mais plus facilement pour l'alimentation animale. L'objectif de ce webinaire a été de partager les savoir-faire et les techniques autour des cultures associées en système de polyculture élevage, afin de tendre vers l'autonomie protéique. Les intervenants ont partagé leurs expériences de travail avec les cultures associées et les opportunités et contraintes de leur utilisation. Avec le témoignage de Jonathan Kirchner - Ferme du Garrousset (Haute-Garonne) et l'expertise de Laurent Bedoussac, maître de conférence à l'ENSFEA-INRAE UMR AGIR animé par Caroline Gibert, responsable de l'activité Agroécologie - Biodiversité à Solagro
Extrait du témoignage de Patrick et Jonathan KIRCHNER (Polyculture-élevage ovins viande - 31470 - Fontenilles)
Les méteils sont exclusivement destinés à l'alimentation du cheptel. Ils sont réfléchis et constitués de mélanges céréales d'hiver et légumineuses à graines. L'éleveur prend soin d'être au plus près de ses animaux afin qu'ils puissent « s'équilibrer ».
Extrait du témoignage de Jack et Kévin DE LOZZO (Polyculture-élevage - 32130 - Noilhan)
« Un de mes objectifs : avoir le maximum d'espèces et de variétés dans les parcelles ». Généralement, 2 à 4 espèces sont toujours associées. Le choix des mélanges est très évolutif selon les parcelles, la qualité du sol et les conditions climatiques. Un point commun ? La présence de légumineuses !
Extrait du témoignage de Philippe GUICHARD (Grandes Cultures - 47440 - Pailloles)
« Il y a des cultures en bio qui ne fonctionnent qu'associées. » Philippe Guichard teste différentes cultures associées depuis plus de 15 ans.
Extrait du témoignage de Marc LEFEBVRE (Grandes cultures, pomme de terre de consommation, légumes plein champ - 62340 - Guînes)
Extrait du témoignage de Alex FRANC (Arboriculture-Grandes cultures - 09700 - Saint-Quirc)
Extrait du témoignage de Julie Bertrand, Jacques Bascoul et Jérôme Gely (Polyculture élevage - 12100 - MILLAU)
Mélanges d’espèces - Reconcevoir les systèmes de cultures européens (REMIX)
Cette étude vise à valoriser les services rendus par les associations d'espèces pour concevoir des systèmes de cultures agroécologiques (conventionnel et AB). Projet multi-acteurs regroupant 23 partenaires et 13 pays européens, REMIX propose une approche permettant de produire de nouvelles connaissances pour contribuer au développement de systèmes agricoles productifs, résilients et moins dépendants des intrants chimiques, dans des conditions pédoclimatiques et sociotechniques diverses.
Article de blog de Philippe GUICHARD du 01/02/2015
parcelle de blé le 23 janvier
Blé + luzerne vivante
Article de blog de Laurent et Nathalie PAUL du 15/05/2018
Nouvelles associations en 2017_2018
Je tente les associations soja / sésame et tournesol sésame pour répondre à la demande en sésame.
Autres ressources
Les processus de complémentarité de niche et de facilitation déterminent le fonctionnement des associations végétales et leur efficacité pour l’acquisition des ressources abiotiques.
Innovations Agronomiques 40, 2014 ,24 pages
Les cultures associées. Céréale / légumineuse. En agriculture "bas intrants" dans le Sud de la France
Hinsinger P., Bedoussac L., Lopez Ridaura S., Cohan JP., Desclaux D., Fustec J., Hellou G., Journet E.P., Bernard L., Brauman A., Magrini M.B., Triboulet P., Haefliger M.
www6.montpellier.inra.fr/systerra-perfcom
Projet PerfCom financé par l'ANR. 2012. 28p.
Colza associé à un couvert de légumineuses gélives
Terres Innovia livre son retour d'expériences sur 5 années d'expérimentation sur 160 sites d'expérimentation.
Terres Innovia, 2016. Les points techniques de Terres Inovia. 30 p
Peut-on se passer des pesticides ?
Jean-Marc Meynard, directeur de recherche à l'Inra, a écrit un ouvrage « Produire autrement » en 1980, avant que ce slogan ne devienne celui de Stéphane Le Foll. Il a livré, à l'occasion de l'Exposition universelle de Milan, son avis sur la nécessité d'utiliser des pesticides en agriculture et sur la possibilité de s'en passer.
Des associations végétales pour reconcevoir les
systèmes de culture agroécologiques :
couverts intermédiaires multi-services et cultures associées
UMR AGIR INRA/INPT Toulouse-Auzeville
Equipe VASCO, 2017
Présentation du projet Diverba et de la Maison de la Semence
Le projet Diverba de recherches participatives a permis d'établir une typologie des élevages de l'AVEM, de remettre en culture et de caractériser des populations spontanées et paysannes de fourragères utilisées dans des prairies à flore variée. Il débouche sur un programme de sélection participative du sainfoin mené par Laurent Hazard, Directeur de Recherches à l'INRA de Toulouse (UMR AGIR1248) et évolue vers la création d'une organisation collective permettant de produire et d'utiliser ces populations paysannes : la Maison de la Semence : www.avem12.org
Diversité variétale : Avantages et défis des semences paysannes en polyculture élevage - Mars 2024
Enjeu fondamental pour l'agriculture, semences et graines sont aujourd'hui essentielles pour assurer la sécurité alimentaire des populations humaines comme animales. Leur qualité, leur diversité, leur adaptabilité aux différents contextes pédoclimatiques entraîne la réussite de leur mise en culture. Ce webinaire permet de partager les savoir-faire et les techniques autour de la production de semences paysannes, à travers l'exemple du maïs-population. Les intervenants partagent leurs expériences de travail avec les variétés paysannes et les opportunités et contraintes liées à leur utilisation. Avec le témoignage de Jon Harlouchet - Ferme Idiartia (Pyrénées Atlantiques) et l'expertise de Geoffroy Estingoy d'AgroBio Périgord animé par Annabelle Richard, chargée de mission Agroécologie-Biodiversité à Solagro.
Témoignage vidéo de Jeanne et Simon Barrès (Céréales panifiables, pain, fourrages - 09130 - CARLA-BAYLE)
Dans cette vidéo, partez à la rencontre de Jeanne et Simon Barrès, qui nous présentent leur projet de fournil en Ariège, à Carla-Bayle. Découvrez comment ils cultivent du blé population sur leur ferme en partenariat avec des bergers locaux, pour produire du pain de manière durable et respectueuse de l'environnement.
Témoignage vidéo de Jeanne et Simon Barrès (Céréales panifiables, pain, fourrages - 09130 - CARLA-BAYLE)
Dans cette vidéo, partez à la rencontre de Jeanne et Simon Barrès, qui nous présentent leur projet de fournil en Ariège, à Carla-Bayle. Découvrez comment ils cultivent du blé population sur leur ferme en partenariat avec des bergers locaux, pour produire du pain de manière durable et respectueuse de l'environnement.
Extrait du témoignage de Philippe GUICHARD (Grandes Cultures - 47440 - Pailloles)
Philippe a fait le choix de travailler avec des mélanges de populations par essence dynamique, au fort pouvoir d'adaptation.
Extrait du témoignage de Laurent REVERSAT, Romain REVERSAT, Frédéric LIBOT (Polyculture-élevage ovins lait - 12230 - Nant)
L'AVEM à travers la Maison de la Semence a mis en place une organisation collective pratiquant la sélection participative de graines paysannes adaptées aux conditions pédoclimatiques locales (www.avem12.org). Laurent Reversat y est impliqué depuis sa création, et applique la sélection participative de populations de céréales et fourragères.
Extrait du témoignage de Laurent et Nathalie PAUL (Grandes cultures - 31290 - Montclar-Lauragais)
Extrait du témoignage de Jon HARLOUCHET (Production de lait bio transformé en yaourt et production de maïs population transformé en farine et polenta - 64220 - Bussunarits-Sarrasquette)
Extrait du témoignage de Jeanne et Simon Barrès (Céréales panifiables, pain, fourrages - 09130 - CARLA-BAYLE)
S’installer paysanne-boulangère sur 15 ha
Paysanne-boulangère, paysan-boulanger un métier d’avenir. Elles et ils sont nombreux à s’installer sur des petites fermes en bio pour faire plusieurs métiers en un : paysan, meunier, boulanger, voire bucheron pour alimenter le four à bois !
Retour sur le webinaire : Avantages et défis des semences paysannes dans un système de polyculture élevage
Ce webinaire était l'occasion de partager les savoir-faire et les techniques autour de la production de semences paysannes, à travers l'exemple du maïs-population. Les intervenants ont pu partager leurs expériences de travail avec les variétés paysannes et les opportunités et contraintes liées à leur utilisation.
Article de blog de Philippe GUICHARD du 20/01/2017
Aux origines de la farine dans le magazine La toque (janvier 2017)
Autres ressources
L'Aquitaine cultive la biodiversité - Programme régional d'expérimentation – Variétés population – édition 2016
Bio d'Aquitaine, 2016, 152pages
L'Aquitaine cultive la biodiversité. 10 ans d'expériences et d'expérimentation 2001-2011, bilan, résultats et perspectives
Bio d'Aquitaine, 2014, 128pages
Voyage autour des blés paysans
Véritable plaidoyer en faveur de la biodiversité végétale, “Voyage autour des blés paysans” rassemble les témoignages d’agriculteurs, de boulangers, de meuniers, et même de chercheurs ayant délibérement pris le parti de cultiver ou de travailler les blés paysans.
Réseau Semences Paysannes. 2008. 124 pages
Guide technique. Des blés bio... Diversité !
5 années d'expérimentations sur les semences paysannes en Pays de la Loire
Une poignée de paysans bio des Pays de la Loire, émerveillés par tant de diversité oubliée, ont pris leur courage à deux mains : « il faut initier un travail autour des variétés anciennes et paysannes dans nos terroirs ! » De nombreux témoignages jalonnent cet ouvrage qui consacre une large place aux conseils pratiques : Comment se procurer les semences ? Comment les observer, les multiplier et les sélectionner ? Quelles précautions prendre ? Quelles utilisations pour ces blés atypiques ?
Coordination Agrobiologique des Pays de la Loire - GABB Anjou - Triptolème - RSP. 2011. 92 p
Cultivons la biodiversité : les semences paysannes en réseau
Cet ouvrage invite à découvrir les missions du Réseau Semences Paysannes, à comprendre ou approfondir votre connaissance des semences paysannes et à jouer un rôle dans le renouvellement de la biodiversité cultivée et dans la transmission des savoirs paysans.
Edition RSP - janvier 2010 - 20x20 couleurs - 94 pages
Présentation du projet Diverba et de la maison de la semence
Le projet Diverba de recherches participatives a permis d'établir une typologie des élevages de l'AVEM, de remettre en culture et de caractériser des populations spontanées et paysannes de fourragères utilisées dans des prairies à flore variée.
Il débouche sur un programme de sélection participative du sainfoin mené par Laurent Hazard, Directeur de Recherches à l'INRA de Toulouse (UMR AGIR1248) et évolue vers la création d'une organisation collective permettant de produire et d'utiliser ces populations paysannes : la Maison de la Semence. Plus d'info : www.avem12.org
Témoignage vidéo de Philippe GARLENQ, Nicolas MAURY, Dorian LAUZUN (Arboriculture - 12640 - Rivière sur Tarn)
Les exploitants des vergers de l'Aveyron vous donnent leur vision de l'agroécologie de la production à la consommation !
Témoignage vidéo de Stéphane FAIDY (Polyélevage - 79400 - Saint-Martin de Saint-Maixent)
Stéphane Faidy nous explique pourquoi et comment il gère ses prairies multi-espèces et quels sont les avantages qu'il peut en tirer.
Témoignage vidéo de Hervé LEVANO, Rasmus OLESEN et Valérie REIG (Viticulture AOC Banyuls et Collioure - 66650 - Banyuls sur mer)
La sélection massale consiste en la sélection d'individus aux potentiels génétiques variés (pieds de vigne) parmi une population diversifiée (parcelle de vigne non issue de sélection clonale). Au contraire de la sélection clonale qui consiste à sélectionner un seul individu exprimant un potentiel génétique intéressant de manière à le multiplier « à l'infini ». Laurent ESCAPA nous explique sa démarche.
Témoignage vidéo de Blandine et Vincent ARCUSA (Céréales panifiables, pain, fourrages et pois chiche - 83170 - TOURVES)
Blandine Arcusa de la Ferme de la Reyne dans le Var nous explique pourquoi avec son mari, ils utilisent des variétés anciennes pour faire leur pain bio et comment ils valorisent leurs pailles grâce aux partenaires.
Témoignage vidéo de Frédéric et Suzanne Bossoutrot (Production d’animaux reproducteurs et engraissement (label rouge) Race Limousine - 19700 - lagraulière)
Frédéric, agriculteur en Corrèze, nous explique comment obtenir le label HVN.
Témoignage vidéo de Michel LEVESQUE (Production de châtaigne en AB, transformation et vente directe - 30570 - Saint André de Majencoules)
Michel LEVESQUE, installé dans une châtaigneraie en AB dans le Gard depuis 1975 nous explique en détail comment il entretien son exploitation de la manière la plus agroécologique possible.
Extrait du témoignage de Alex FRANC (Arboriculture-Grandes cultures - 09700 - Saint-Quirc)
Du fait du passage à l'AB et afin de gérer le plus en amont possible les ravageurs dans les vergers, une politique de replantation de variétés tolérantes a été mise en place dès 1999. Le but étant de remplacer des vergers implantés au début des années 90 en variétés sensibles. Ainsi, à partir de 1999, lors du passage en AB, les vergers ont progressivement été renouvelés avec des variétés résistantes ou tolérantes à certains bioagresseurs (l'objectif recherché est en premier, la résistance à la tavelure et en second au puceron cendré).
Extrait du témoignage de Cédric DEGUILLAUME et Stéphanie NGUYEN (Ovins viande, myrtilles, maraîchage plein champ, accueil à la ferme - 19390 - Chaumeil)
Extrait du témoignage de Philippe GARLENQ, Nicolas MAURY, Dorian LAUZUN (Arboriculture - 12640 - Rivière sur Tarn)
Extrait du témoignage de Catherine et Baptiste CARRIÈRE PRADAL (Viticulture AOC - 34290 - Servian)
Extrait du témoignage de Blandine et Vincent ARCUSA (Céréales panifiables, pain, fourrages et pois chiche - 83170 - TOURVES)
Extrait du témoignage de Michel LEVESQUE (Production de châtaigne en AB, transformation et vente directe - 30570 - Saint André de Majencoules)
Retour sur le webinaire : Avantages et défis des semences paysannes dans un système de polyculture élevage
Ce webinaire était l'occasion de partager les savoir-faire et les techniques autour de la production de semences paysannes, à travers l'exemple du maïs-population. Les intervenants ont pu partager leurs expériences de travail avec les variétés paysannes et les opportunités et contraintes liées à leur utilisation.
Retour sur le webinaire : Atteindre l’autonomie protéique en polyculture élevage avec les cultures associées
Retour sur le webinaire du 9 novembre 2023 : Atteindre l'autonomie protéique en polyculture élevage avec les cultures associées L'objectif de ce webinaire a été de partager les savoir-faire et les techniques autour des cultures associées en système de polyculture élevage, afin de tendre vers l'autonomie protéique. Les intervenants ont partagé leurs expériences de travail avec les cultures associées et les opportunités et contraintes de leur utilisation. Voir le replay
Intensification des pratiques agricoles - première cause de disparitions des plantes messicoles
C'est le constat porté par une étude parue en novembre 2019 dans la revue « Agriculteurs, Ecosystems and Environnement ». L'engagement a été pris par la France de stopper la perte de biodiversité d'ici 2020, faute de l'avoir tenu en 2010. Cette étude vient à point pour proposer des pistes d'actions.
Nouvelles cultures pour la Lutte Biologique par Conservation et Gestion des Habitats
De nouvelles cultures ; la betterave, l'abricotier, le pois chiche, le chou-fleur et le poireau, ont été intégrées dans l'outil HERBEA. On peut découvrir par exemple les espèces de plantes à implanter dans sa bande fleurie proche d'une culture de betterave, pour favoriser les auxiliaires qui régulent le puceron vert du pêcher… Pour en savoir plus
Une forte diversité d’adventices minimise les pertes de rendements
Le contrôle des adventices est un vrai enjeu agronomique. D'un côté une mauvaise gestion de celles-ci peut faire perdre une part du rendement et donc du revenu à l'agriculteur. De l'autre le désherbage a un coût, son utilisation systématique sélectionne une résistance de certaines adventices aux matières actives et certaines molécules se retrouvent dans les captages d'eau potable obligeant la mise en place d'un traitement curatif de l'eau.
La simplification des paysages agricoles : une menace pour la production agricole.
Le 16 octobre 2019, la revue Science Advances a publié les résultats d'une vaste étude internationale « une synthèse globale qui révèle les bénéfices apportés par la biodiversité à la production agricole ». 101 chercheurs de 27 pays ont mis en commun leurs données provenant de 89 études et comprenant 1475 relevés parcellaires portant sur l'évaluation de la richesse spécifique et l'abondance des pollinisateurs et insectes prédateurs et parasitoïdes intervenant dans le contrôle biologique. 29 cultures ont été étudiées. Plusieurs chercheurs français ont participé à ces travaux : Vincent bretagnolle (CNRS), Adrien Rusch (INRA), Claire Lavigne et Pierre Franck (INRA)
Le Busard Saint-Martin, le Busard cendré et le Milan royal : 3 rapaces indicateurs de biodiversité
Le Busard Saint-Martin, le Busard cendré et le Milan royal, sont 3 espèces de rapaces considérées comme de bons indicateurs de l'état de la biodiversité des milieux agricoles car situés au sommet de la chaine alimentaire et occupant une grande partie de l'espace agricole français.
Projet Muscari: des outils à votre disposition pour composer vos bandes fleuries et suivre la biodiversité
Le séminaire de restitution du projet Muscari a eu lieu le 19 juin à Paris rassemblant un public varié. De nombreux échanges et des questions autour de la fonctionnalité de ces bandes et leurs réels intérêts, l'acceptabilité des agriculteurs (crainte vis-à-vis des adventices ?), des problèmes liées à l'implantation des bandes fleuries, de l'origine des semences, de la diversité de situation en fonction des contextes pédoclimatiques ont eu lieu.
Connaître la biodiversité utile à l'agriculture
L'INRA en partenariat avec la chambre régionale d'Occitanie vient de réaliser 9 fiches techniques très imagées pour connaître la biodiversité utile à l'agriculture. Elaborées dans le cadre du projet de recherche SEBIOREF, elles donnent un visage à la biodiversité si présente dans les champs et pas suffisamment considérée par manque de connaissance et d'observation.
Témoignage vidéo de André, Alain et Christian Paulin (Bovins lait et viande, porcs - 81990 - Puygouzon)
André Paulin témoigne des multiples bénéfices des prairies à flore variée pour son système de polyculture – élevage où la recherche d'autonomie et la valorisation de la nature sont des éléments centraux. Ces prairies contribuent à un fort taux d'herbe pâturée dans la ration (60%), à la quasi absence de frais vétérinaires et renforcent la résilience du système (augmentation du taux de MO, complémentarité des espèces pour la production d'herbe).
Extrait du témoignage de André et Agnès DELPECH (Ovins viande - 46330 - Cabrerets)
L'allongement de la durée de pâturage n'a pu se faire sans l'expérimentation de nouveaux mélanges prairiaux. 20 années d'essais ont permis d'identifier les espèces les plus propices au terroir et les mélanges les plus satisfaisants tant sur la qualité de la ration que sur la production d'herbe.
Extrait du témoignage de Laurent REVERSAT, Romain REVERSAT, Frédéric LIBOT (Polyculture-élevage ovins lait - 12230 - Nant)
Afin d'assurer son autonomie alimentaire quelles que soient les conditions climatiques, Laurent Reversat sème l'ensemble de ses prairies temporaires en mélanges.
Extrait du témoignage de Pierre et Danielle JAUZION (Ovins lait - 81440 - VENES)
Dans le choix de la constitution de leurs associations, les éleveurs visent un double objectif : des espèces bien adaptées au contexte pédoclimatique et parcellaire pour assurer une bonne production d'herbe dans la durée (à destination fauche ou pâture), et un mélange équilibré pour satisfaire les besoins alimentaires du troupeau.
Extrait du témoignage de André, Alain et Christian Paulin (Bovins lait et viande, porcs - 81990 - Puygouzon)
Extrait du témoignage de Stéphane FAIDY (Polyélevage - 79400 - Saint-Martin de Saint-Maixent)
Extrait du témoignage de Blandine et Vincent ARCUSA (Céréales panifiables, pain, fourrages et pois chiche - 83170 - TOURVES)
Autres ressources
La productivité de l’herbe
Le pâturage rotationnel consiste à intervenir dans l’identification des composants du sol, dans la croissance de l’herbe et à guider l’animal qui la pâture. André Voisin énonce donc et développe au fil de son ouvrage, dix règles fondamentales, qui constituent la trame de la conduite des herbages pour les éleveurs soucieux de qualité et de sécurité alimentaire. Il est le précurseur de l’agriculture biologique, mais aussi d’une philosophie humanitaire et universelle. Il aimait souvent répéter à ses interlocuteurs : « De l’équilibre du sol dépend la santé de l’animal et de l’homme ».
André Voisin. Réédition de l’ouvrage de 1957.
Témoignage vidéo de Sophie Deffis et Laurent Bonnin (Porc noir de Bigorre, Poule Noire d'Astarac - 65220 - Puydarrieux)
Sophie DEFFIS, installée en Hautes-Pyrénées depuis 2003 nous parle de son cheptel de porcs noirs de Bigorre, une race AOP.
Optimiser la conduite des races locales - Quels facteurs de réussite, quels itiniéraires techniques ?
Quels itinéraires techniques permettent d'optimiser la conduite des races locales en Bretagne ? Cette synthèse a pour objectif de répondre à cette problématique et de résumer les résultats des travaux réalisés par un groupe d'éleveurs de plusieurs races locales bretonnes différentes de ruminants en 2016. Ce groupe reconnu Groupement d'intérêt Economique et Environnemental (GIEE) a pu mener ces travaux grâce à l'appel à projet Agriculture Ecologiquement Performante.
Extrait du témoignage de Cédric DEGUILLAUME et Stéphanie NGUYEN (Ovins viande, myrtilles, maraîchage plein champ, accueil à la ferme - 19390 - Chaumeil)
Extrait du témoignage de Sophie Deffis et Laurent Bonnin (Porc noir de Bigorre, Poule Noire d'Astarac - 65220 - Puydarrieux)
Extrait du témoignage de Sophie Deffis et Laurent Bonnin (Porc noir de Bigorre, Poule Noire d'Astarac - 65220 - Puydarrieux)
Optimiser la conduite des races locales - Quels facteurs de réussite, quels itiniéraires techniques ?
Nous souhaitons remercier le GIE Elevage Bretagne pour le relais d'une synthèse technique qui souhaite répondre à la problématique suivante : "Quels itinéraires techniques permettent d'optimiser la conduite de races locales en Bretagne ?" Suite à l'obtention de l'appel à projet Agriculture Ecologiquement Performante, un groupe d'une trentaine d'éleveurs reconnu GIEE, tous inscrits dans l'agroécologie par leurs systèmes et pratiques, a permis la réalisation de cette synthèse riche d'enseignements. Vous pouvez la retrouver dans les pratiques agroécologiques à la loupe en suivant l'onglet accroitre l'autonomie du troupeau (races rustiques) ou en suivant le lien ci dessous.
La vache nantaise : une race ancienne pleine d'avenir
Elle a donné son nom à la fête de la vache nantaise le rendez-vous des races locales qui se déroule tous les 4 ans en Plessé, village de 5000 habitants en Loire Atlantique, situé en plein coeur bocage. Elle a attiré, le weekend des 7,8 et 9 septembre plus de 50 000 visiteurs.
Autres ressources
Livret technique Gamour (gestion agroécologique des mouches des légumes)
Saluée lors des trophées 2011 de l’agriculture durable par le ministère de l’Agriculture, de l’Alimentation, de la Pêche, de la Ruralité et de l’Aménagement du territoire, l’opération baptisée GAMOUR constitue un exemple réussi d’agroécologie appliquée. Le projet GAMOUR vient démontrer qu’appliquer de nouvelles pratiques sans le recours systématique au tout insecticide chimique est possible, même pour lutter contre des envahisseurs aux appétits très grands. Car jusqu’ici la lutte sur le terrain contre les mouches des légumes posait un véritable casse-tête aux maraîchers producteurs de cucurbitacées.
Auteurs : Deguine JP, Duffourc V, Rousse P, 2012. 26pp
Extrait du témoignage de Philippe GUICHARD (Grandes Cultures - 47440 - Pailloles)
Philippe Guichard a depuis toujours trié lui-même ses graines, et ce pour plus d'autonomie. C'est aujourd'hui son principal atout de vente. Il peut réaliser les associations culturales qu'il souhaite, les trier avec la précision qui lui convient, faire de la vente directe de légumes secs et de farine.
Extrait du témoignage de Jack et Kévin DE LOZZO (Polyculture-élevage - 32130 - Noilhan)
« Grâce à la mise en place d'un stockage et triage, on peut se permettre d'associer, de mélanger les espèces, les variétés sur une même parcelle. C'est une condition indispensable pour associer les cultures. » Toutes les cultures sont triées sur la ferme. La qualité du tri conditionne la destination des grains. Les grains cassés ou les mélanges mal triés sont destinés à l'alimentation animale ou aux semences pour les couverts végétaux. La taille des grains entre en considération dans le choix des associations de culture au même titre que la maturité afin d'anticiper l'étape de tri.
Témoignage vidéo de Julie Bertrand, Jacques Bascoul et Jérôme Gely (Polyculture élevage - 12100 - MILLAU)
Le GAEC du Larzac héberge une diversité et une abondance hors norme de messicoles dans ses parcelles. Sols calcaires, rotation longue en céréales pures ou méteil et prairies temporaires, absence d'intrants chimiques, tri des semences à la ferme permettent aux pied d'alouette, adonis, coquelicot, nielle des blés de s'épanouir !
Extrait du témoignage de Alain et Didier DAGUZAN (Grandes cultures avec un atelier bovins viande - 32270 - Crastes)
Le GAEC se caractérise par la particularité de ne consommer aucun intrant (engrais, pesticides) et peu d'irrigation. Une réflexion agronomique poussée associée à une rotation relativement courte, permet d'optimiser la gestion des surfaces en Grandes Cultures. C'est le résultat d'une refonte totale des méthodes de culture lors du passage en AB, associée à une observation et à un suivi minutieux des parcelles.
Extrait du témoignage de Julie Bertrand, Jacques Bascoul et Jérôme Gely (Polyculture élevage - 12100 - MILLAU)
Premiers résultats du réseau DEPHY 2010 – 2013 : Repérer les systèmes de culture économes et performants en grandes cultures
1200 exploitations en grandes cultures sur 1900 exploitations du Réseau DEPHY se sont engagées. Le réseau DEPHY s'est appuyé sur 185 groupes dans tous les systèmes de production et 41 projets d'expérimentation s'appuyant sur 200 sites expérimentaux et visant à tester des systèmes de culture réduisant d'au moins 50 % l'usage des produits phytosanitaires.
Cultiver le riz en Camargue : un défi écologique
La riziculture constitue un élément essentiel de régulation et de durabilité des agroécosystèmes Camarguais. Le rendement moyen du riz Paddy* stagne autour de 5,5 tonnes par ha avec comme principale contrainte le contrôle des adventices. Quatre espèces sont particulièrement impactantes : la panisse (Echinochloa Crus-Galli), le riz « Crodo » (Oryza sativa) et les triangles (Bolboschoenus maritimus, B. mucronatus). Plus la biomasse de ces adventices croit plus le rendement du riz diminue. L'irrigation du riz avec l'eau douce du Rhône permet le lessivage du sel et garantit la fertilité des sols.
Témoignage vidéo de Patrice et Michèle GIARD (Bovins lait, production cidricole AOC - 14340 - Montreuil-en-Auge)
Situé en plein cœur du pays d'Auge, la famille Giard valorise les vergers hautes tiges traditionnels pour une production cidricole de qualité. Système fonctionnant à bas niveaux d'intrants, le pré-verger est un modèle d'agroforesterie qui vaut le détour.
Extrait du témoignage de Patrice et Michèle GIARD (Bovins lait, production cidricole AOC - 14340 - Montreuil-en-Auge)
Lors de la reprise de l'activité cidricole en 1990, 12 hectares de Prés-vergers ont été renouvelés pour accroître le potentiel de production. Une cinquantaine de variétés d'arbres plantés à une densité de 100 arbres par hectare sur des Prairies, les Vergers hautes tiges se distinguent par bien des aspects des basses tiges.
La feuille du pré-verger n°1 et n°2 en ligne sur Osaé
En complément de la synthèse technique sur les pré-vergers, nous avons démarré en 2017 une newsletter sur la thématique, liée à la newsletter d'Osaé. Les deux premiers numéros de la newsletter du pré-verger sont téléchargeables ici : La feuille du pré-verger n°1 La feuille du pré-verger n°2
La feuille du pré-verger n°2
La newsletter du pré-verger de juin 2017
juin 2017, 2 pages
Feuille du pré-verger n°1
La newsletter du pré-verger de mai 2017
mai 2017, 2 pages
Initiative de l'Association Sauvegarde et Valorisation des Vergers d'Aure : Pour la Belle louronnaise !
L'Association Sauvegarde et Valorisation des Vergers d'Aure (A.S.V.V.A.) obtient un joli bilan, avec l'aide précieuse du SIVU Terroir Haute vallée d'Aure : des centaine d'arbres rajeunis dans cette vallée émaillée de vergers intimistes ! Épatés, les acteurs locaux étendraient cette action aux vallées voisines.
Initiative de l'association le Renouveau de la châtaigne en Hautes-Pyrénées : Le pari des 1 000 châtaigniers !
C'est à la fois peu et beaucoup : 2 tonnes de châtaignes commercialisées par an c'est effectivement peu au regard du potentiel des Baronnies. Mais c'est aussi un bon début au regard du chemin accompli. Et qui donne envie aux agriculteurs d'aller plus loin pour mieux valoriser leur patrimoine fruitier.
1 page
Initiative de l'association Les saisons de la vallée : des emplois qui ont du jus !
Au coeur du Parc du Haut-Languedoc, les vergers abandonnés interpellent les agriculteurs qui décident de les remettre en production. Depuis 1999, à l'automne, le pressoir mobile sillonne la vallée, et chacun vient faire son jus. L'association accompagne les candidats à la diversification "écolonomique".
1 page
Initiative de l'Association Terre Paysanne : Pommes, châtaignes et sentiments
Pommiers oubliés, châtaigniers affaiblis par le chancre : leur abandon en désolait plus d'un ! Mais des agriculteurs prennent conscience du potentiel économique du verger traditionnel. Solidarisés par leur envie de "vivre au pays", ils projettent de se diversifier en valorisant les variétés anciennes.
1 page
Concevoir son pré-verger et valoriser ses fruits
Le pré-verger est un système agricole productif unique, alliant pâturage et production de fruits, aux multiples intérêts agroécologiques. Destinée aux agriculteurs-éleveurs ayant un projet de plantation, cette brochure fournit des conseils pour concevoir son verger, bien conduire les arbres, et gérer le pâturage sous les arbres. Des initiatives locales de valorisation des fruits sont également présentées.
Coulon F. et Pointereau P., 2017, 16 p.
Le pré-verger pour une agriculture durable
Mariage de l’arbre fruitier de plein vent et de la prairie, le pré-verger préserve la biodiversité et façonne des paysages de caractère. Nourri d’enquêtes mais aussi de la somme des savoir-faire et des expériences qui se transmettent au coin du pré, ce guide présente les techniques de plantation et d’entretien des arbres, les modalités de conduite du pâturage, de la récolte, de la transformation et de la commercialisation des fruits. C’est l'une des convictions de l’association SOLAGRO : l’arbre participe au bon fonctionnement écologique des exploitations agricoles.
Ed. SOLAGRO, 2005 - 186 p.
Autres ressources
Les vergers hautes tiges de l'Avesnois
Vidéo réalisée par le Ministère de l'Agriculture