Dans un contexte d'aléas climatiques de plus en plus forts, le séchage en grange présente de nombreux atouts. Il permet notamment de récolter du foin précoce, dans de bonnes conditions et d'obtenir un fourrage très ingestible avec de bonnes valeurs nutritives.

Toutefois, sécher du foin ne s'improvise pas et représente un coût d'investissement non négligeable. Alors pourquoi ne pas investir en collectif au travers de la création d'une CUMA et mutualiser tant les investissements que le fruit de sa récolte ?

Ce webinaire montre comment plusieurs agriculteurs de la CUMA Elgarrekin ont réussi à dimensionner un projet de séchoir en grange et quels sont les modes d'organisation pour la constitution des rations, la gestion collective des prairies et l'organisation des chantiers de récolte. Les intervenants partageront leurs expériences tant sur le dimensionnement de leur installation de séchage en grange que sur les avantages et contraintes à gérer le séchage de fourrages en collectif.

animé par Maxime Moncamp, coordinateur du projet OSAÉ à Solagro et Jean-Luc Bochu responsable de l'activité Agriculture - Energie - Climat à Solagro, avec le témoignage de Ramuntxo Oteiza président de la CUMA Elgarrekin.

Enjeu fondamental pour l'agriculture, semences et graines sont aujourd'hui essentielles pour assurer la sécurité alimentaire des populations humaines comme animales. Leur qualité, leur diversité, leur adaptabilité aux différents contextes pédoclimatiques entraîne la réussite de leur mise en culture.

Ce webinaire permet de partager les savoir-faire et les techniques autour de la production de semences paysannes, à travers l'exemple du maïs-population. Les intervenants partagent leurs expériences de travail avec les variétés paysannes et les opportunités et contraintes liées à leur utilisation.

Avec le témoignage de Jon Harlouchet - Ferme Idiartia (Pyrénées Atlantiques) et l'expertise de Geoffroy Estingoy d'AgroBio Périgord animé par Annabelle Richard, chargée de mission Agroécologie-Biodiversité à Solagro.

Le projet de territoire Terres de Sources, porté par Eau du Bassin Rennais, vise la protection de la ressource en eau. Il repose sur la valorisation des productions agricoles à travers des marchés de prestation de service pour protéger l'eau ou l'air, des groupements de commande, il propose une labellisation pour les producteurs·rices, la création d'une SCIC… Le projet valorise l'achat de produits alimentaires issus de bassins versants et zones de captage d'eau selon des pratiques encadrées par des clauses contractuelles. Ce webinaire présente le rôle facilitateur du projet Terres de Sources dans la transition agroécologique des systèmes agricoles du territoire et les avantages et inconvénients perçus par les agriculteur·rices participant à la démarche. Avec le témoignage de Jean-François Viel - Ferme du Ty Viel (Côtes d'Armor) et de Coralie Chuberre - Terres de Sources et animé par Amélie Claudepierre, chargée de mission Agroécologie-Biodiversité à Solagro.

Dans le cadre d'OSAÉ - Osez l'Agroécologie, Solagro a organisé un webinaire autour de la gestion du rang dans les vergers. La gestion du rang présente un réel enjeu aujourd'hui en arboriculture face aux aléas climatiques. Les avantages et inconvénients des différentes méthodes de gestion du rang : fertilisation, biodiversité auxiliaire, compétition hydrique, attraction des campagnols... sont aujourd'hui à réinterroger au regard des épisodes de gel, sécheresses, hautes températures... de plus en plus fréquents. Parmi ces méthodes, on peut soit laisser l'enherbement sur le rang, et pour cela, des nombreuses solutions s'offrent aux arboriculteurs pour gérer les adventices (tonte satellite, pâturage, semis de plante couvrante…) ; soit au contraire désherber mécaniquement ; soit combiner les deux et pratiquer la méthode sandwich. Ce webinaire s'intéresse aux questions soulevées par ces méthodes : temps de travail, coût, apprentissage (gestion des animaux, maniabilité des outils…)... Présenté par Annabelle Richard, chargée de mission à Solagro https://solagro.org/ Avec les témoignages de : - Alex Franc - Arboriculteur - La ferme du Vernou : https://osez-agroecologie.org/alex-franc - Stéphanie Drusch - Ingénieure à l'INRAE de Gotheron : https://www.inrae.fr/

Les cultures associées concernent généralement au moins une légumineuse et une céréale. Leur culture simultanée présente de nombreux avantages : notamment un rendement plus élevé que la moyenne des cultures pures mais aussi plus stable (grâce à la compensation entre espèces et la facilitation) et une réduction des adventices par rapport à la culture pure de légumineuses seules. L'association de cultures répond aux enjeux d'une agriculture plus durable, mais une des principales difficultés à leur intégration est la capacité à récolter et séparer les grains. Les mélanges ne peuvent souvent pas être commercialisés en l'état pour l'alimentation humaine, mais plus facilement pour l'alimentation animale.

L'objectif de ce webinaire a été de partager les savoir-faire et les techniques autour des cultures associées en système de polyculture élevage, afin de tendre vers l'autonomie protéique. Les intervenants ont partagé leurs expériences de travail avec les cultures associées et les opportunités et contraintes de leur utilisation.

Avec le témoignage de Jonathan Kirchner - Ferme du Garrousset (Haute-Garonne) et l'expertise de Laurent Bedoussac, maître de conférence à l'ENSFEA-INRAE UMR AGIR
animé par Caroline Gibert, responsable de l'activité Agroécologie - Biodiversité à Solagro

Dans le cadre d'OSAÉ - Osez l'Agroécologie, Solagro a proposé un webinaire sur l'utilisation de la plaquette de bois bocagère en litière dans les systèmes d'élevage. Dans un contexte où la paille devient de plus en plus rare et chère, déchiqueter du bois pour en faire des copeaux pour la litière des animaux peut s'avérer être une alternative intéressante pour les éleveurs, en remplacement de la paille. Issu des haies ou des bosquets, le bois présent sur la ferme peut permettre de diminuer les charges liées à la litière des animaux. Une possibilité aussi d'utiliser son linéaire de haies grâce aux différentes filières de valorisation. Ce webinaire a fait le focus sur les différentes techniques de paillage et les nombreux avantages à utiliser la plaquette de bois bocagère et ses possibles valorisations. Avec les témoignages de : Benoit Rozière (agriculteur/éleveur en Aveyron) et Paule Pointereau et Emma Houplain (Afac – Agroforesteries).

Guillaume Joubert nous explique comment il pratique le semis direct sous couvert et quels avantages agroécologiques il en tire.

Dans ce webinaire dédié aux intérêts du pâturage dans les vignes, nous nous intéressons aux différents leviers et freins techniques d'une transhumance inverse et des impacts sur le vignoble (gestion de l'enherbement, activation biologique du sol, protection des jeunes vignes, intérêts communs du vigneron et de l'éleveur). Nous aborderons également les initiatives locales qui permettent de favoriser et relancer cette pratique agroécologique ancestrale.

Intervenants :
- Christophe BOUSQUET, vigneron et président de l'AOC la Clape
- Yves NOUET, animateur captages prioritaires à la Chambre d'agriculture du Gard
- Solagro : Philippe POINTEREAU, Louis SICARD

Dans le cadre d'Osez l'Agroécologie (OSAE), Solagro a organisé un webinaire sur la santé des sols et les pratiques associées en maraichage bio.
Dans ce webinaire nous avons abordé les différents leviers et freins techniques à différentes échelles pour maintenir un sol en bonne santé.

Avec les témoignages de Pierre Besse, maraicher bio sur sol vivant (31 870, Lagardelle sur Lèze) et Yann Boulestreau, doctorant INRAe Avignon Écodéveloppement, ITAB, ADEME (Gestion durable des bioagresseurs telluriques en maraîchage de la parcelle au territoire).

Découvrez la culture de la vanille en agroforesterie à l'Île de la Réunion.

Cette vidéo présente :

Le Parc National de la Réunion et la marque "Esprit Parc national"

Les avantages de l'agroforesterie pour la biodiversité et la gestion durable des parcelles

La culture de la vanille en sous-bois par Quentin et Béatrice Donnay

Les techniques de production respectueuses de l'environnement

L'importance de l'observation et de l'adaptation aux cycles naturels

Les conditions spécifiques pour la production de vanille

Une approche qui privilégie la qualité à la quantité

Cette vidéo offre un aperçu de la production de vanille durable à la Réunion, mettant en lumière les pratiques agricoles respectueuses de l'environnement.

À la rencontre de Françoise De Solan qui nous parle des haies en libre expression. “Aucune intervention n’est nécessaire sur les haies, au contraire, ce sont des espaces et couloirs en auto-régénération. Avec les modifications climatiques année après année, on ne sait pas quelles espèces vont résister. Préserver le fouillis, c’est préserver la biodiversité et permettre l’installation des espèces résistantes.”

Découvrez comment Sylvain Pimont optimise son exploitation agricole en intégrant un système de méthanisation à son modèle de polyculture-élevage en agriculture biologique. Dans cette vidéo, Sylvain nous explique comment il valorise les déchets agricoles et les effluents d’élevage pour produire du biogaz, une énergie renouvelable, et du digestat, un fertilisant riche en nutriments. Suivez son parcours et apprenez-en plus sur les avantages de la méthanisation dans une démarche d'agroécologie.

Michel KERVAREC et Martine VERGER expliquent comment ils gèrent leur cheptel de poules pondeuses et de poules de chair, toutes labellisées Agriculture Biologique depuis respectivement 2021 et 2022.

Serge TOUZANNE est le chef d'exploitation de la ferme de Bellegarde, exploitation en polyculture élevage (70 vaches laitières de race Prim'Holstein) appartenant au lycée agricole d'Albi-Fonlabour. Jean-Noël Bertrand, professeur d'agronomie, lui nous explique dans cette vidéo comment il gère l'exploitation.

Émilie et Éloi FERTÉ, éleveurs caprins et bovins dans le Tarn et Garonne, nous parlent de l'intérêt de maintenir une partie de leur élevage de chèvres en longue lactation.

Clovis DHOTE nous en dit plus sur sa ferme AOP Comté, le cahier des charges à respecter pour avoir ce label.

Alain Mathieu, Président du Comité Interprofessionnel de Gestion Comté nous explique d'où vient le label AOP Comté et les conditions requises pour l'obtenir. Clovis DHOTE, agriculteur dans le Doubs, lui nous explique comment il gère son exploitation de bovins lait et ce que ce label lui apporte.

Sophie DEFFIS, installée en Hautes-Pyrénées depuis 2003 nous parle de son cheptel de porcs noirs de Bigorre, une race AOP.

Sébastien BLACHE, agriculteur en polyculture élevage nous raconte comment il concilie élevage et agroforesterie et le tout en bio.

Michel LEVESQUE, installé dans une châtaigneraie en AB dans le Gard depuis 1975 nous explique en détail comment il entretien son exploitation de la manière la plus agroécologique possible.

Jean-Jacques Mathieu nous détaille son exploitation en polyculture élevage dans l'Aude où il s'est installé avec Patricia. Ils produisent des légumes bio ainsi que de la viande de vache Gasconne, une race rustique très intéressante en élevage extensif

Gilles Simonneaux s'est installé sur la ferme familiale de vaches laitières de 75 ha dans la zone périphérique de Rennes. Il nous parle de sa ferme, comment il valorise ses co-produits et comment il gère son troupeau.

Fabrice Monnier nous explique comment il gère son système herbe et son troupeau de vaches laitières.

Frédéric, installé en Corrèze sur une exploitation de 208 hectares nous explique comment il gère son troupeau de Limousines.

Guillaume Joubert nous explique comment il gère les adventices tout en préservant son sol au maximum.

Blandine Arcusa de la Ferme de la Reyne dans le Var nous détaille ses pratiques agroécologiques et comment, avec son mari Vincent, elles leur permettent de produire un pain de qualité tout en préservant la biodiversité et l'écologie.

Blandine Arcusa de la Ferme de la Reyne dans le Var nous explique pourquoi avec son mari, ils utilisent des variétés anciennes pour faire leur pain bio et comment ils valorisent leurs pailles grâce aux partenaires.

Bruno Dunand nous explique qu'il pratique l'enherbement sur le rang et l'inter-rang pour fertiliser le sol et réintroduire l'équilibre ravageurs et auxiliaires. Il retrouve en flore spontanée de l'asphodèle, la laitue des vignes, du fenouil... Autant de plantes hôtes pour les auxiliaires tels que les parasitoïdes de la mouche de l'olivier : https://www.herbea.org/fr/fiches/91/Fenouil. 

Yann Sauvaire nous explique comment il gère ses couvert inter rang dans sa ferme, quelles sont les difficultés rencontrées et comment il essaye de s'adapter.
Retrouvez son témoignage complet ici

Jules CHARMOY nous explique comment la méthanisation va lui permettre de valoriser son fumier pour arriver à terme à une ferme autonome en énergie.
Retrouvez son témoignage complet ici

Benoit Rozière nous explique en quoi une alimentation basée sur l'herbe permets d'avoir un lait AOP Laguiole de haute qualité.
Retrouvez son témoignage complet et détaillé ici

Carine MAGOT Nous explique comment la diversité culturales et l'implantation d'un couvert inter-rang lui permets de réduire considérablement les traitements qu'elle pourrait apporter à sa vigne.
Retrouver le témoignage complet ici

Carine MAGOT nous explique comment la diffusion de musique dans ses parcelles permets de réduire l'impact de l'ESCA sur sa vigne.
Retrouvez son témoignage complet ici

Le treuil est utilisé pour tracter un cultivateur à 4 dents avec réglage de la largeur et de la hauteur de travail ainsi que du dévers. Le cultivateur est passé dans le sens de la pente de bas en haut puis dans la diagonale. Selon les parcelles, 2 à 6 passages sont réalisés chaque année. Dans les vignes taillées en gobelet, le cultivateur passe à quelques millimètres des ceps de vigne et assure un désherbage précis. Le câble utilisé est résistant à 1500 kg de traction.

Stéphane FAIDY nous parle du pâturage tournant dynamique, pratique qu'il utilise dans sa ferme.

Philippe Delmas se lance dans l'expérimentation de l'enherbement inter-rang de ses vignes dans les années 2010. Il investit plus récemment dans un semoir à semis-direct en cherchant à favoriser la vie du sol et à gagner en autonomie sur l'azote.

François Peloquin nous explique comme sont gérées les adventices sur la ferme de Chassagne en AB, grâce à la mise en place de rotations longues de couverts et du désherbage mécanique.

Découvrez dans cette vidéo un projet agroforestier d'envergure sur 20 ha. Objectifs recherchés, conception, choix des essences et mise en place de l'agroforesterie, Catherine Carrière-Pradal ainsi que de plusieurs personnes ayant contribué au projet témoignent.

Occitanie. Au programme, l'agroécologie dans toute sa diversité :

Pâturage tournant dynamique en bovin viande (le 14 mai dans l'Aveyron): osez-agroecologie.org/agenda?scroll=date250

Gestion de l'enherbement en vergers diversifiés (le 15 mai dans l'Aveyron): osez-agroecologie.org/agenda?scroll=date251

Rotations longues, diversification, légumineuses en grandes cultures (le 20 mai en Haute-Garonne) : osez-agroecologie.org/agenda?scroll=date252

Cultures associées, mélanges prairiaux, autonomie alimentaire du troupeau en ovin lait (le 23 mai dans l'Aveyron) : osez-agroecologie.org/agenda?scroll=date253

Fertilité, couverts végétaux et réduction du travail du sol en grandes cultures bio (le 23 mai dans le Gers) : osez-agroecologie.org/agenda?scroll=date249

Christophe nous explique comment il combine pastoralisme et viticulture afin d'avoir des bénéfices des 2 activités et tout ça en AB.

Dans le cadre de la semaine pour les alternatives aux pesticides (du 20 au 30 mars), évènement organisé tous les ans par "Générations futures" Solagro présente, en 2 minutes 40 la lutte biologique par conservation des habitats et la plateforme Herbea. Pas tristes, les deux minutes quarante !

Agriculteurs, arboriculteurs, maraîchers, jardiniers…Laissez vous guider !

En accès libre et gratuit, Herbea indique les plantes à mettre en place à proximité des cultures pour favoriser leurs auxiliaires, pour récréer des chaînes alimentaires qui régulent les ravageurs. Herbea a compilé les enseignements de 700 références techniques et scientifiques. Herbea vous aide à ouvrir l'œil et le bon pour prendre de bonnes décisions au bon moment. Herbea c'est :

Le GAEC du Larzac héberge une diversité et une abondance hors norme de messicoles dans ses parcelles. Sols calcaires, rotation longue en céréales pures ou méteil et prairies temporaires, absence d'intrants chimiques, tri des semences à la ferme permettent aux pied d'alouette, adonis, coquelicot, nielle des blés de s'épanouir !

La gestion de l'enherbement de l'inter-rang s'intègre dans une approche globale de réduction des intrants sur l'exploitation des Vergers de l'Aveyron (espèces résistantes à la tavelure, confusion sexuelle, nichoirs à mésange). Implanté dans un premier temps pour s'affranchir des phénomènes érosifs, l'enherbement apporte de nombreux bénéfices agronomiques et sociaux (confort de travail, gain de temps).

Après un passage par la bande fleurie, c'est vers l'agroforesterie que Marc Lefebvre s'est finalement orienté pour favoriser la biodiversité autour de ses parcelles tout en développant une nouvelle production (plaquettes de bois, BRF...). Il livre dans cette vidéo ses conseils aux agriculteurs qui voudraient se lancer.

Zoom sur les pratiques agroécologiques du lycée d'Auzeville

André Paulin témoigne des multiples bénéfices des prairies à flore variée pour son système de polyculture – élevage où la recherche d'autonomie et la valorisation de la nature sont des éléments centraux. Ces prairies contribuent à un fort taux d'herbe pâturée dans la ration (60%), à la quasi absence de frais vétérinaires et renforcent la résilience du système (augmentation du taux de MO, complémentarité des espèces pour la production d'herbe).

En complément de la vidéo sur la lutte biologique par conservation, Alex nous dévoile son pari sur la diversité végétale dans son verger de pommes (variétés, porte-greffe) et les pratiques associées pour un verger riche en auxiliaires, résilient et économe en intrants extérieurs: sur-greffage, tolérance à la tavelure, éclaircissage, taille en vert, non-travail du sol, enherbement permanent de l'inter-rang avec une zone centrale non broyée et implantation de légumineuses sur le rang…

Découvrez dans cette vidéo comment l'aménagement du verger de pommes a été réfléchi pour offrir des habitats variés aux pollinisateurs sauvages mais également aux prédateurs et parasitoïdes du carpocapse et des pucerons. Alex nous explique avec passion à quel point la proximité de la proie avec ses prédateurs et la diversité des auxiliaires sont essentielles pour un verger sain et de qualité : haies multi-espèces et multi-strates (noisetier, merisier…), bandes fleuries (bourrache, œillets, ombellifères), zone enherbée naturellement, filet Alt'Carpo… Le tout dans un esprit gagnant-gagnant ! Dates de tournage : 19 et 27 mai et 10 juin 2016.

Vous découvrez dans cette vidéo la mise en œuvre concrète du pâturage tournant dynamique : découpage des prairies, pose des clôtures, herbomètre, analyse du stade 3 feuilles… Maurice et André nous expliquent comment la productivité des prairies s'est largement améliorée chez eux mais aussi chez leurs voisins.

Le gain en autonomie alimentaire pour le troupeau ovin et la réelle efficacité économique passent par la valorisation de milieux semi-naturels complémentaires. La planification du pâturage permettant notamment l'utilisation du report sur pied, est un moyen d'optimiser la productivité des différents milieux : landes à callunes, pelouses, fonds humides…

Sur la ferme du Chalet, les espèces sont associées en une multitude de combinaison pour des débouchés variés (coopérative, alimentation bovine, semences pour les couverts végétaux). Jack De Lozzo aborde l'intérêt des associations et les points clés de leur mise en œuvre technique jusqu'au triage !

Découvrez en image la récolte de pois et le semis de sarrasin avec un semoir / déchaumeur. Les légumineuses, clés de voûte d'une agriculture durable, sont décryptées de la production à la consommation.

La maîtrise des adventices, une préoccupation majeure pour les maraîchers. Pierre Besse nous explique la combinaison de techniques qu'il utilise et nous fait découvrir l'intérêt du maraîchage sous mulch, sa mise en œuvre pratique ainsi que les points clés de réussite.

- Augmentation de la durée de pâturage,
- Augmentation des rendements,
- Suppression des intrants
- Amélioration de l'état du troupeau et de la qualité du lait...
Pour Jean-Baptiste Carrié, le pâturage tournant dynamique "c'est tout bénéf'"!

Fusionner 2 fermes pour travailler sur un système plus cohérent et plus autonome, c'est le choix qu'ont récemment fait ces associés. Ils nous expliquent les piliers de leur futur système : privilégier la ressource en herbe pour l'alimentation des brebis laitières, implanter des prairies multi-espèces riches en légumineuses, utiliser des semences fourragères paysannes, développer une approche alternative de la santé animale et travailler en collectif.
 

Découverte des modalités de mise en œuvre d'un semis-direct de cultures de printemps dans un couvert végétal vivant : préparation du semoir et adaptation du matériel, conditions et densité de semis, choix et intérêt du couvert végétal de féverole,… Les retombées positives sont nombreuses : amélioration de la vie du sol, diminution des consommations d'engrais et de carburants.
 

La gestion de l'enherbement et de la fertilité des sols, c'est le nerf de la guerre pour les systèmes en AB sans apports organiques. Vous découvrirez dans cette vidéo la stratégie de Alain Daguzan et l'importance de combiner différentes approches (rotation, désherbage mécanique et manuel). Comment gérer la destruction d'un couvert de féverole – navette : la réponse en image !
 

De l'implantation de la luzerne au triage des graines, vous saurez tout sur les semis de blé dans la luzerne vivante. Les intérêts de cette pratique : des interventions très limitées (semis et récolte !), un gain de fertilité, et des blés de qualité à fort taux de protéines.

Une rotation rapide (5 à 7 pâturages annuels), un chargement élevé, des prairies riches en légumineuses, un damier de parcelles géré par la technique du fil avant, fil arrière sont les piliers du pâturage tournant. Le résultat : un troupeau ovins viande au pâturage 11 mois sur 12 et une ration 4 à 5 fois moins chère qu'en bâtiment.

Cette vidéo vous permet de découvrir un semis direct de sorgho dans des chaumes de blé suivi d'un broyage réalisé en août 2014. Réglage du semoir, densité de semis, conditions du sol, vous saurez tout !

Situé en plein cœur du pays d'Auge, la famille Giard valorise les vergers hautes tiges traditionnels pour une production cidricole de qualité. Système fonctionnant à bas niveaux d'intrants, le pré-verger est un modèle d'agroforesterie qui vaut le détour.

La parcelle agroforestière de 2013, implantée sur 10 ha, s'inscrit dans la vision globale et de long terme du GAEC de la Baronnesse. Les motivations et difficultés des premières années font l'objet de cet entretien.

Lors d'une visite organisée sur les parcelles de Philippe Guichard, les associations de cultures sont à l'honneur : blé dans la luzerne vivante, blé – lentille, lentille – cameline. Philippe Guichard, agriculteur dans le Lot-et-Garonne et Eric Justes, ingénieur de recherche INRA Toulouse s'expriment sur les bénéfices de ces associations. Amélioration de la production, des propriétés du sol et des cultures récoltées, les associations de cultures représentent un véritable levier agronomique pour la production biologique notamment !

Regards croisés d'acteurs sur la lutte biologique par conservation des habitats : formateurs, chercheurs, agriculteurs échangent sur les aménagements paysagers et les pratiques agricoles favorables.
Pour en savoir plus : http://www.herbea.org/

Dans cette vidéo, partez à la rencontre de Jeanne et Simon Barrès, qui nous présentent leur projet de fournil en Ariège, à Carla-Bayle. Découvrez comment ils cultivent du blé population sur leur ferme en partenariat avec des bergers locaux, pour produire du pain de manière durable et respectueuse de l'environnement.

Julien Cartier, installé en Camargue sur le Domaine familial de Beaujeu nous parle de son exploitation en AB sur laquelle il travaille avec son père. L'exploitation est en grande culture avec prairies naturelles, riziculture, vignes et polyculture, elle accueil en hiver le troupeau d'ovins de la ferme voisine.

Jon Harlouchet, agriculteur du pays Basque nous décrit son intérêt pour les cultures de maïs population et comment il mutualise élevage et grande culture pour créer des sous produits.

Jean-François VIEL, éleveur bovins et porcins en Bretagne nous en raconte un peu plus sur sa ferme et son mode de fonctionnement.

Les vignerons de Buzet sont lauréats des Trophées de l'adaptation au changement climatique Life ARTISAN pour leur projet d'expérimentation et de déploiement d'itinéraires techniques agroécologiques pour l'activité vitivinicole.

Yann Sauvaire nous explique ce qu'est pour lui l'agroécologie et quelles sont ses méthode agroécologiques qui lui font gagner du temps en respectant la nature.
Retrouvez son témoignage complet

Les avantages de l'enherbement inter-rang sont multiples : maintien de l'humidité,  préservation de la qualité de l'eau, facilité de mises en œuvre. La vidéo détaille la gestion de l'enherbement par les viticulteurs.

En renouveau depuis quelques années, l'utilisation d'équidés en agriculture est complémentaire à l'utilisation du tracteur. Virginie nous montre dans cette vidéo comment Diane la jument assure son travail de désherbage et d'implantation des couverts végétaux.

L'agroécologie prend tout son sens sur le GAEC du Larzac : recherche d'autonomie pour l'alimentation du troupeau ovins lait, soins préventifs, absence d'intrants chimiques et des résultats économiques satisfaisants !

Les vergers de l'Aveyron vous donne leur vision de l'agroécologie de la production à la consommation !

Les exploitants des vergers de l'Aveyron vous donnent leur vision de l'agroécologie de la production à la consommation !

Couverts, agroforesterie, réduction des pesticides et du travail du sol: plusieurs axes de travail pour s'inscrire dans la dynamique agroécologique, selon Marc Lefebvre.

Sophie Rousval, Directrice de l'exploitation du lycée agricole, nous présente la vision qu'a l'établissement de l'agroécologie.

L'agroécologie ? Une agriculture capable de s'adapter à son milieu et de valoriser les ressources locales. Maintenir la richesse floristique des prairies, nourrir sainement ses animaux et conserver les milieux ouverts sont des éléments essentiels pour ces éleveurs.

L'éleveur définit l'agroécologie comme la capacité à produire avec son milieu. Ici souvent considéré comme peu productif, Cédric De Guillaume a su valoriser les végétations spontanées en travaillant sur sa stratégie de pâturage.

Mélanger des variétés dans un champ de céréales ou dans un verger, aménager ses parcelles en intégrant une réflexion multi-strates, recréer un système complexe permettant d'optimiser les intrants, voici un bel exemple d'agroécologie !

L'agroécologie ? C'est de l'agriculture et de l'écologie. Il faut retrouver ce que la nature sait très bien faire et mieux que nous !

Diversification des cultures, développement des couverts végétaux et dérobés, limitation du travail du sol, le tout en bio et en vente directe !

Pierre Besse nous dévoile sa vision de l'agroécologie avec une approche philosophique et technique en replaçant le paysan et sa communauté comme les centres de la connaissance et de la décision en agriculture et en considérant l'acte de production dans un réseau de relations écologiques avec le milieu.

"Etre capable de lire le potentiel de la nature et l'utiliser à des fins de production": c'est cela, l'agroécologie, pour Jean-Baptiste Carrié.

L'agroécologie ? Entre agriculture et écologie, ce sont des pratiques durables dans le temps. Des vaches nourries à l'herbe, le respect du bien être animal, un produit de qualité la tomme des Pyrénées et le maintien de l'humain (4 associés), ils vous proposent leur vision de l'agroécologie.
 

"L'agroécologie, c'est d'abord travailler avec un sol vivant !" Redonner une place à l'agronomie et à l'écologie, retrouver l'autofertilité des sols, voici les idées défendues par la famille Hamot. Un témoignage à découvrir !
 

L'agroécologie se traduit par une approche globale sur le GAEC du Couayroux : arrêt du labour, introduction de couverts végétaux, implantation de parcelles agroforestières, création d'un atelier bovins viande pour entretenir les prairies,… L'objectif toujours poursuivi : un système en AB sans intrants et de bons rendements !
 

Laurent Reversat voit l'agroécologie comme une mise en cohérence d'un ensemble de pratiques (rotation, assolement, biodiversité, santé animale) avec la nature. Il rappelle l'importance de l'humain dans le fonctionnement de sa ferme et la nécessité d'une autonomie financière et décisionnelle.
Retrouvez davantage de vidéos concernant l'exploitation de Laurent Reversat sur www.osez-agroecologie.org

Pour Philippe Guichard, en système de grandes cultures sans intrants, l'agroécologie prend forme dans une ferme qui concilie l'agronomie, la biodiversité et le social !

Un système productif préservant au mieux les éléments naturels et paysagés. L'agroécologie ne doit pas être abordée uniquement sous l'angle écologique mais également agronomique et économique.

Qu'est-ce que l'agroécologie ? Difficile question... Pour Roger Beziat, « Un système de fonctionnement global au sein d'une exploitation : la rotation des cultures, la plantation de haies, le suppression du travail du sol, l'augmentation du taux de matière organique,… »

Michel LEVESQUE nous explique comment il lutte efficacement contre le cynips, principal ravageur de sa châtaigneraie, grâce à l'introduction artificielle d'un prédateur.

Frédéric, agriculteur en Corrèze, nous explique comment obtenir le label HVN.

Guillaume nous détaille ses couverts et comment il gère sa rotation tout au long des années.

Yann nous explique comment les amandiers et la culture de lavandin peuvent co-habiter et quels sont les avantages de la pratique de l'agroforesterie.
Retrouvez son témoignage complet ici

Benoit ROZIÈRE nous montre ses bocages, comment il les protège et leur utilité au quotidien dans la ferme.
Retrouvez son témoignage complet ici

La sélection massale consiste en la sélection d'individus aux potentiels génétiques variés (pieds de vigne) parmi une population diversifiée (parcelle de vigne non issue de sélection clonale). Au contraire de la sélection clonale qui consiste à sélectionner un seul individu exprimant un potentiel génétique intéressant de manière à le multiplier « à l'infini ». Laurent ESCAPA nous explique sa démarche.

Stéphane Faidy nous explique pourquoi et comment il gère ses prairies multi-espèces et quels sont les avantages qu'il peut en tirer.

Stéphane nous explique comment il entretien ses haies. La démonstration a eu lieu au printemps 2019 mais l'entretien annuel est généralement réalisé en hiver (hors période de croissance de la haie)

Découvrez cette technique facile à mettre en œuvre et efficace, permettant de préserver la ressource en eau !

François Peloquin nous explique comment la production de la ferme de Chassagne est transformée et valorisée grâce aux équipements qu'ils ont sur place.

Observation, lâcher d'insecte auxiliaire, savon noir et fleurs en bord de serre, Lucie nous décrit la stratégie de régulation naturelle des ravageurs à la ferme du Matet.

Christophe nous explique 2 de ses pratiques agroécologiques :
- la taille en gobelet de sa vigne
- la confusion sexuelle pour lutter contre le ver de la grappe

En agriculture biologique depuis 1996, Jacques Bascoul partage sa découverte des messicoles (plantes rares des moissons) et l'importance qu'elles ont pour lui.

En agriculture biologique depuis 1996, Jacques Bascoul partage sa découverte des messicoles (plantes rares des moissons) et l'importance qu'elles ont pour lui.

Philippe Garlenq nous explique comment il a basculé d'une exploitation orientée sur la production de pomme de terre à une production diversifiée de fruits.

Philippe Garlenq nous explique comment il a basculé d'une exploitation orientée sur la production de pomme de terre à une production diversifiée de fruits.

En constatant la dégradation des sols sur lesquels il cultivait de la betterave sucrière, Marc Lefebvre a eu le "déclic": il était temps de modifier itinéraires et pratiques!

Anne Pujos, Coordinatrice BTS agronomie production végétale au lycée d'Auzeville, nous parle de son Déclic.

6 agriculteurs témoignent des déclics qu'ils ont vécu et de la conséquence qu'ils ont eu sur l'évolution de leurs systèmes et pratiques.

Cédric s'est installé dans le cadre d'une reprise familiale, persuadé de l'intérêt des spécificités du milieu. Il nous raconte comment les échanges de groupe avec un collectif d'agriculteurs du Civam de l'APABA lui ont permis de faire avancer ses pratiques et de mettre en place un système efficace (économique et en temps de travail).

L'affaiblissement des prairies par des méthodes de pâturage inadaptées (gazon court) et la nécessité d'intensifier le pâturage ont conduit Maurice et André vers la recherche de nouvelles solutions. Avec le pâturage tournant dynamique et l'arrêt du maïs distribué en vert, ils diminuent progressivement les charges et privilégient une approche préventive pour la santé animale.

Sans vraiment parler de déclic, Alex Franc nous raconte comment son expérience de chercheur en écologie a influencé ses pratiques.

Son déclic? L'odeur de la terre lors du labour et la compréhension des fonctions de l'arbre. Jack aborde également la question de la transition et des premières étapes pour faire évoluer son système.

« Je ne mangeais pas ce que je produisais », c'est ce qui a fait réagir Laurent Paul et l'a motivé dans le changement de pratiques. Il nous explique son nouveau métier et les compétences que cela nécessite. 

Sans vraiment parler de déclic car Pierre Besse est « tombé dedans », il aborde les personnes qui ont guidé son chemin de maraîcher. La permaculture, vaste concept, Nicole et Pierre Besse, en dessinent les contours.

Il est possible de produire mieux, et de meilleure qualité, sans intrant : ce message transmis lors d'une formation au pâturage tournant dynamique a constitué, pour Jean-Baptiste Carrié, le "déclic". Il a alors décidé de devenir "cultivateur d'herbe".

Anne Bazerque nous explique l'organisation rationnelle du travail qu'ils ont mis en place grâce, notamment à l'installation d'un séchoir du fourrage en grange. Leur système fonctionnant à un niveau de charges peu élevé leur ont permis d'envisager la création d'un GAEC de 4 associés.
 

Jean Hamot nous explique comment il s'est lancé dans les couverts végétaux dans un système fonctionnant déjà en techniques culturales simplifiées.
Retrouvez d'autres vidéos concernant l'exploitation de Jean et Cyril Hamot et d'autres sur le site www.osez-agroecologie.org

Produire des aliments de qualité et protéger sa santé, tels ont été les principaux leitmotiv du changement. Le chemin vers l'AB sans intrants s'est d'abord fait progressivement au travers d'engagements dans des mesures agroenvironnementales. Puis, suite à une rencontre, Alain prend conscience que le saut vers l'AB est possible.
 

Laurent Reversat décrit plusieurs étapes dans son cheminement : l'arrêt des insecticides, la limitation des investissements et le développement d'une approche globale notamment pour la santé animale. Il identifie l'arrêt de l'azote minéral comme un des cap difficile à franchir.
Retrouvez d'autres vidéos concernant l'exploitation de Laurent Reversat et d'autres sur le site www.osez-agroecologie.org

En 1998, affaiblis par des coûts de production élevés (entretien des bâtiments, stockage et gestion de l'alimentation), André et Agnès décident de suivre une formation de 3 mois en Nouvelle Zélande. Séduit par cette technique innovante permettant de maintenir le troupeau pendant la quasi totalité de l'année en plein air, ils repensent leur système en positionnant l'herbe au cœur de la réflexion.

Un constat : un poids intrants (engrais, fioul, semences) trop lourd. Le déclic ? La nécessité d'améliorer sa marge nette guidé par une envie d'autonomie.

L'érosion, la dépendance aux aléas climatiques ont conduit Roger et Denis BEZIAT à une nouvelle priorité : la préservation d'un sol vivant.

Biométhadour est un collectif d'agriculteurs ayant monté un projet de méthanisation agricole. Dans la vidéo, vous verrez comment le projet Biométhadour fonctionne, pourquoi ils ont mené ce projet en collectif, et les avantages qu'ils en retirent.

Michel Kervarec et Luc Foucault de Terres de Sources expliquent comment la démarche collective valorise le travail de l'agriculteur.

Jean-Noël Bertrand nous explique comment il concilie agriculture et enseignement grâce à sa ferme directement implantée dans le lycée agricole d'Albi Fonlabour. Les étudiants peuvent ainsi mêler théorique et pratique.

Arnaud BECHET nous parle de la Tour du Valat et comment cet institut œuvre pour la préservation de la biodiversité en Camargue.

La tour du Valat : https://tourduvalat.org/

Jon Harlouchet présente l'association Arto Gorria dont il est membre et explique comment cette association fonctionne avec les producteurs locaux.

Nathalie MARTY, en charge des PSE à l'agence de l'eau Adour Garonne nous parle du PSE, paiement pour service environnemental, et plus particulièrement de celui d'Adour Garonne. Elle nous explique sa mise en place, les indicateurs à atteindre pour bénéficier du PSE et comment cette aide permet aux agriculteurs de valoriser leurs pratiques, comme Éloi et Émilie FERTÉ.

Jean-François nous parle de l'importance du collectif et de son partenariat avec Terres de Sources

Alexandre FONSECA, directeur du consortium noir de Bigorre nous en dit un peu plus sur ce label. Retrouvez le témoignage complet de Sophie DEFFIS et Laurent BONNIN qui bénéficient de ce label pour leurs porcs et volailles :

Elsa GÄRTNER, présidente de l'association Les fermes paysannes et sauvages nous explique comment cette association promeut la dynamique du vivant et démontre qu'il est possible d'avoir une agriculture différente et plus respectueuse.

Sandrine Récio de la coopérative du pays de Sault, nous explique le fonctionnement de sa coopérative, spécialisée dans la revente de pommes de terres, Jean-Jacques est en partenariat avec eux sur ces légumes. Pour ses autres légumes ils ont crée l'association Fruits et légumes : haute vallée de l'Aude.

Gilles Simonneaux nous parle du projet Terre de Sources, porté par la collectivité Eau Du Bassin Rennais, et en quoi ce projet est intéressant pour lui.

Mathilde Lefevre nous parle du réseau ADAGE et Léna Monnier, agricultrice éleveuse de vaches laitières en Île et Vilaine nous explique ce que lui apporte ce travail en réseau avec l'ADAGE.

Jérôme TONDUSSON, Directeur du site de Beauvallet-Plainemaison à Limoges, nous parle de la marque Or Rouge, gage de qualité de la viande. Philippe POINTEREAU, délégué au développement chez SOLAGRO quant à lui, nous en dit un peu plus sur la notion de Haute Valeur Naturelle. Ces 2 labels sont un gage de qualité et de reconnaissance du travail de Frédéric sur son exploitation depuis des années.

Guillaume nous parle de tous les réseaux avec lesquels il a travaillé et ce que ça lui a apporté.

Blandine Arcusa de la ferme de la Reyne dans le Var nous parle de tous les partenaires qui les ont aidé, elle et son mari, à s'installer en tant qu'artisans boulangers en Bio.

Yann, Claire et Mathieu nous expliquent comment le travailler ensemble et le partage des connaissances aide au quotidien dans la ferme.
Retrouvez le témoignage ici

André Valadier, Co-fondateur de la coopérative jeune montagne nous parle de l'historique de cette coopérative, de son mode de fonctionnement et de production.
Retrouvez le témoignage complet ici

Jules CHARMOY nous explique comment le "travailler ensemble" peut être un levier de l'agroécologie
Retrouvez son témoignage complet ici

Pierre PHILIPPE et Vincent LEYRE nous parlent de la Coopérative des vignerons de Buzet, son mode de fonctionnement et ce que ça leur a apporter dans leur manière de fonctionner.
Retrouver le témoignage complet ici osez-agroecologie.org/eric-pozzoli SCEA Gueyze et domaines

Stéphane et Alice nous expliquent comment la CAVEB caveb.net/bienvenue-caveb/ peuvent aider les agriculteurs dans leur démarches, ici pour le pâturage tournant dynamique.

Céline Peloquin du groupement "les fermes de Chassagne" nous parle des atouts du "travailler ensemble" et de ce que ça peut apporter comme plus-values tant au niveau humain que technique et économique.

Lucie nous présente ici la clé de leur réussite : le travail à plusieurs !
Accompagné par ATAG pour acquérir les bonnes manières de travailler ensemble, les 3 associés ont su s'entourer grâce à leur réseau pour se former et exprimer leurs différentes compétences.

Christophe nous parle de l'importance de la démarche collective pour partager les savoirs agroécologiques.