Les rendements catastrophiques en soja en 2012 et 2013, respectivement 7 et 5 qx/ha liés à des pluviométries insuffisantes et à des difficultés lors de la destruction des couverts végétaux, ont conduit Alain et Didier à irriguer 1/3 du soja. Le maintien de 20 ha de soja en sec s'explique par plusieurs raisons : préservation du temps de travail, éloignement de certaines parcelles par rapport à la retenue, rotation obligatoire en bio (une culture en AB peut être conduite 2 ans maximum sur une même parcelle). Avec le maintien d'une part important du soja en sec, le GAEC de Couayroux cherche des solutions techniques pour garantir des rendements satisfaisants.
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