Suivi dans le temps de la ferme
Historique des Assolements
2020
2017
MON SYSTEME 2020
système = 5UTH en 2020 contre 1 UTH en 2017
INTRANTS
Irrigation :
- Verger 600 m3/ha
- Légumes 250 m3/ha
- Engrais organique : Fumier bovin acheté à des agriculteurs voisins : 30 m3/ha/an sur le verger (pas de changements)
- BRF : Autrefois achat, maintenant autonome à 100% (pas de changements)
Semences :
- Maraichage : 500€ (pas de changements)
- Couverts grandes cultures : 100€ (phacélie, radis, moutarde notamment) (pas de changements)
- Couverts verger : 350€ (pas de changements)
- Racines endives : 3 000€ (pas de changements)
- Confusion sexuelle : … 250 €/ha (pas de changements)
Traitements phytosanitaires :
Argile 3 passages 15€/ha, huile colza et soufre 2 passages 15€/ha, virus de la granulose 2 passages 120€/ha, huile de neem 2 passages 180€/ha (pas de changements)
Pour rappel en 2017
- Irrigation: Verger 400 m3/ha
- Légumes : 250m3/ha
- Engrais organiques: 1T/ha
Semences:
- bandes fleuries 800 € pour 0,25 ha 200€
- courges : 1000€ pour 1,2 ha
- Le reste en semences fermières
- Confusion sexuelle pour carpocapse et tordeuse (double confusion) 210€/ha
- Carburants 2000L soit 42L/ha
- Traitements (argile 3 passages à 15€/ha, huile colza et soufre 2 passages à 15€/ha, virus de la granulose 2 passages à 60€/ha, lâcher de nématodes : 300€/ha en un seul passage, huile de neem deux passages 60€/L 3-4L/ha…)
- Filets, poteaux, fils et pallissage: investissement de 15000 €/ha
- Fumier de bovin 20 t à 10€/t
- BRF sur jeune plants : achat de 30 m3 à 750 €. Autonomie en BFR de 17%
VENTES:
- Pommes : 50% du CA
- Moyenne de 10 t/ha
- 2017 : 1 t/ha à cause de gel printanier
- 2020 : 1t/ha sur une partie du verger à cause d'une attaque d'anthonome
- Cerises, poires, prunes : 5% du CA
- Maraichage : 5% du CA
- Endives : 10% du CA
- Cultivées par des voisins, puis la racine est récoltée et livrée à Alex Franc. L'endive est produite sur l'exploitation par forçage de la racine en salle noire et chauffée.
- Produits transformés (jus, cidre, compotes) : 20% du CA
- La transformation est faite sur la production du verger et la production d'arboriculteurs voisins. Cela représente 40 000€ au total
- Grandes cultures : 10% du CA
- Blé : moyenne de 25 qx/ha (destination boulangers)
- 2020 8 qx/ha pour les variétés anciennes et 13 qx/ha pour les variétés modernes (climat)
- Triticale …
Pour rappel en 2017
- Pommes 50% du CA de la ferme
- 2017 : pommes 1t/ha : -90% de la production (gel printanier)
- Cerises, poires et prunes
- 1/3 en vente à la ferme, 1/3 en AMAP et 1/3 en magasins de producteurs (si bonne année)
- mauvaise année : 70% vente à la ferme : 30 % à la ferme : cas de cette année.
- Vente à la ferme : Système d'achat revente des produits extérieurs avec une marge de 15-20% et vente propres produits.
- Produits transformés (jus, cidre, compotes) : 20% du CA
- Grandes cultures : 10 % des ventes
- Blé : boulanger 25 qtx/ha
- triticale 40 qtx/ha, féverole grains 15 qtx/ha, luzerne : voisins éleveurs (8,4tMS/ha)
- Courges : potimarron et butternut : 5t/ha
- Le reste du CA est assuré par de la transformation à façon (Jus de pomme) et de la revente à la ferme.
MES PRATIQUES 2020
Implantation d'infrastructures agroécologiques multi-espèces :
Ce type de vergers était d'actualité en 2017, mais depuis 2018 Alex Franc a abandonné les bandes fleuries, remplacées par le couvert d'enherbement inter-rang. Ces couverts sont désormais composés d'un mélange légumineuses/mellifères en plus de la fétuque qui était déjà présente, afin de garder le but premier des anciennes bandes fleuries (voir section Enherbement du rang et / ou de l'inter rang). En effet, il est déçu que la bande fleurie dure peu de temps (3/4 ans maximum) et cela lui demande de l'entretien.
Dans le nouveau verger, Alex Franc a entouré la parcelle de haies boisées, et l'a divisée en deux en insérant une haie au milieu, à la place de la bande fleurie de la figure 1. Cela permettra de renforcer encore plus la biodiversité au sein de la parcelle, et viendra en complément du design novateur du verger (voir section Cultures associées).
Au niveau de la protection des cultures, Alex Franc n'utilise plus de traitements par nématodes (mauvais rapport prix/efficacité). Les bandes de cartons autour des arbres sont encore réalisés mais servent plus comme outil de suivi que comme véritable moyen de lutte. La taille en vert est toujours réalisée pour les pucerons, et permet d'éviter le contact entre les arbres. Cela ralentit la progression du puceron d'arbre en arbre. Eventuellement de l'huile de neem est pulvérisée sur les variétés sensibles. L'utilisation de soufre et de cuivre (bouillie bordelaise) pose toujours problème à Alex Franc, qui a augmenté l'utilisation de petit lait. 15 L/ha, entre 5 et 15 traitements par an, notamment au printemps contre la tavelure et l'oïdium, et à l'automne contre des maladies de la conservation. Cela a permis d'avoir une année 2020 quasimment sans traitement au soufre ou au cuivre.
Enherbement du rang et/ou de l'inter-rang
Depuis 2019, sur l'intégralité du verger, l'enherbement est composé de légumineuses (féverole, trèfles) et de plantes mellifères auparavant utilisées en bandes fleuries. Cela permet à la fois une bonne biodiversité, et une fixation d'azote par les légumineuses. Chaque année, un broyage puis un roulage est effectué dans le rang après la taille (pour les rameaux taillés), puis un broyage l'été pour calmer le couvert et diminuer sa compétition en eau, puis un dernier broyage après la récolte, pour broyer les feuilles mortes (contre la tavelure). Au rythme de 3 broyages par an, cet enherbement reste 3 ans en moyenne, au-delà il faut le renouveler.
Le BRF est toujours utilisé sur la ferme (en tant que paillage ou amendement organique), et désormais l'intégralité des besoins est produite sur l'exploitation. La fertilisation est également assurée par l'apport d'amendement organique à l'implantation (40 t de fumier bovin et 60 t de compost) et parfois pendant la culture (sur les anciens vergers notamment), par du fumier bovin, de la paille (céréales de l'exploitation) et du BRF.
Allongement de la rotation et diversification de l'assolement
La rotation n'a pas vraiment changé, mis à part que le soja n'est plus cultivé sur l'exploitation depuis 2018. D'autres cultures de printemps ont pris sa place : le tournesol ou le sarrasin. Ces deux cultures ont notamment l'avantage d'être mellifères. Entre ces deux années, un couvert intermédiaire est mis en place. Ainsi la rotation actuelle est comme suit :
Luzerne (5 ans) à blé à orge ou triticale à couvert mélange à sarrasin ou tournesol à sarrasin ou tournesol à blé
Les couverts sont des mélanges d'espèces, avec notamment pois, avoine, vesce, féverole, phacélie, radis fourrager, sorgo fourrager et moutarde.
Concernant le travail de sol, l'exploitation en travail superficiel en majorité, le labour n'est utilisé qu'à la destruction de la luzerne (au bout de 5 ans). Le semis de luzerne sous couvert de blé s'est maintenant généralisé. Un premier passage de herse sur les chaumes de blé, puis le passage du semoir, puis un rouleau pour tasser et enterrer les graines.
Agroforesterie
Quatre nouveaux hectares de parcelle agroforestière ont été implantés en 2018, avec 130 arbres : quelques pommiers mais surtout du bois d'œuvre (mûrier, chêne, frêne, tilleul). Le but serait d'en faire des trognes pour du BRF pour l'exploitation.
De plus, en 2020, 12 ha supplémentaires ont été plantés en agroforesterie, avec des amandiers, des pruniers, des tilleuls et des châtaigniers. Le but étant d'avoir des arbres à floraison tardive (juillet) pour prendre le relai des plantes mellifères dont la floraison est plus précoce. Ainsi, les pollinisateurs (notamment les abeilles de l'apiculteur présent sur la ferme) seraient fournis plus longtemps.
Durant les 5 premières années après l'implantation d'une parcelle agroforestière, il arrive que certains arbres meurent. Alex Franc les remplace systématiquement.
Pour Alex Franc, il manque dans ses parcelles agroforestières la strate arbustive qui permettrait d'assurer une continuité et plus de refuges pour la biodiversité présente. Cependant, cela ne lui permettrait plus de toucher les primes PAC, à l'instar du fait qu'il ne peut pas planter les arbres qu'il souhaite mais que des espèces locales.
Cultures associées
Alex Franc a testé la mise en place de maraichage dans les vergers en 2017. À l'année 2020, il reste quelques tomates dans le verger, mais c'est anecdotique. Cependant, une parcelle de maraichage a été mise en place (un peu moins d'1 ha) et a d'ailleurs été source d'embauche.
De plus, un nouveau verger a été mis en place en 2018. Les années précédentes, des haies avaient été plantées autour et au milieu de la parcelle (à la place d'une bande fleurie). De plus, un couvert de légumineuses avait été mis en place pour avoir un bon démarrage des arbres. Après un amendement de fumier et de compost, les arbres ont été plantés en 2018.
Ce verger est inspiré de Stefan Sobkowiak, un biologiste québécois qui travaille sur les vergers permaculturels. Il comporte un « système trio », regroupant deux espèces de fruitiers et une espèce fixatrice d'azote, en alternance sur le rang. Ainsi, Alex Franc a choisi l'enchainement aulne / poirier / pommier, avec l'aulne en tant que fixateur d'azote. Chaque rang est donc composé de cet enchainement de trois espèces. Cela permet de diluer la pression ravageurs (les espèces identiques ne sont pas proches) et d'apporter de la vigueur aux fruitiers par l'implantation d'aulnes. De plus, une partie de ce verger comprend des pruniers, des pêchers, des cognassiers et de la vigne.
Cependant, sur ce nouveau verger, l'aulne a une très forte croissance végétative, qui pourrait s'avérer problématique à l'avenir (problèmes de contact entre les arbres facilitant le passage des ravageurs, concurrence avec les fruitiers).
ÉTAT DES LIEUX DES PROJETS
Nouveaux projets :
- Le but ultime serait d'avoir des mellifères toute l'année sur l'exploitation, pour les ruches. Il s'agirait donc de trouver les plantes ou les arbres adaptés.
- En 2020, Alex Franc a créé le « Cercle des cueilleurs de Vernou », une sorte de club (5€/an) réunissant des particuliers, connaissant bien Alex. Ils viennent faire de l'autocueillette sur les vergers à l'automne. Alex ne souhaite pas ouvrir à d'autres particuliers, pour garder une clientèle fidèle et en qui il a confiance. Dans un futur proche, il souhaite développer encore l'autocueillette, et peut-être faire une vidéo explicative à l'attention des particuliers, pour éviter de leur répéter trop souvent le fonctionnement.
évolution du système
Le système est passé de 2 à 3 UTH. En effet, la diversification et l'agrandissement des surfaces nécessitent de la main d'œuvre supplémentaire.
2014 |
2017 |
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Evolution des ventes
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2014 |
2017 |
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Pommes |
70 % CA |
50% CA |
Produits transformés |
15% CA |
20 % CA |
Légumes |
0% CA |
xx% CA |
Grandes cultures |
15% CA |
10 % CA |
Commercialisation |
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2017 est considérée par Alex Franc comme une « mauvaise année ». En effet, le gel a entraîné une perte de 90% de la production de pomme qui s'est ressentie sur tout le système et sur la vente. C'est pourquoi cette année il n'y a pas de vente en magasin de producteurs.
Désormais, la vente à la ferme se fait selon un système d'achat-revente des produits extérieurs avec une marge de 15-20% et vente propre de ses produits. Cela permet une diversification des produits proposés aux clients. La marge de 15% permet de payer le salaire de la vendeuse, le matériel (balance électronique à 1000 €, électricité du frigo) ainsi que l'achat des produits. La marge de 20% permet de dégager un peu d'argent pour des futurs investissements ou des prélèvements privés.
Un des avantages du système actuel est que la production de pommes reste la principale production et les quantités importantes nécessitent un stockage en palox. Ce sont dont les clients qui trient, calibrent, pèsent et expédient les produits. Autant d'étapes qui habituellement sont à la charge du producteur. Alex Franc économise donc du temps et de la main d'œuvre. Il estime un gain de 40-50 centimes d'euros/kg.
Le fait que la clientèle soit 100% locale (environ 90% des clients parcourent moins de 10 km) est un avantage. D'après Alex Franc, cela stimule à la diversification afin de pouvoir offrir le maximum de produits aux consommateurs sur un même lieu de vente.
Evolution des rendements
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2014 |
2017 |
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Pommes |
40-80 t/an |
Environ 1 t/an |
Blé |
40 q/ha |
25 q/ha |
Triticale |
40 q/ha |
40 q/ha |
Féverole à grain |
18 q/ha |
15 q/ha |
Luzerne |
10 t MS |
8,4 t MS |
Courges (potimarron et butternut) |
- |
5 t/ha |
Les rendements de pommes ont chuté avec une perte de plus de 90% de la production due au gel du printemps. L'introduction de courges dans le système a été réalisée afin de palier le manque de pommes.
Evolution de l'assolement
2014 |
2017 |
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40 ha en grandes cultures |
43 ha |
5 ha de verger en production |
7 ha |
2 ha de verger en cours de production/plantation |
1 ha |
Les 2 ha de nouveau verger sont désormais en production et un nouveau verger est en cours de plantation. Le nouveau verger est un moyen d'augmenter et de diversifier la production car sur ce dernier il y a aura vignes, pommiers, poiriers, pruniers et nashi.
2014 |
2015 |
2017 |
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Soja 15 ha |
Soja 12 ha |
Courges 1,2 ha |
Tournesol 8,5 ha |
Féverole 3 ha |
Féverole à grain 2 ha |
Luzerne 11 ha |
Luzerne 11 ha |
Luzerne 26,5 ha |
Triticale 6 ha |
Triticale 8 ha |
Triticale (seigle/orge) 6 ha |
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Blé tendre 6 ha |
Blé tendre 7 ha |
- Abandon du soja
« Je n'ai pas toujours le temps de gérer la mise en place de la culture, en concurrence avec les travaux du verger (mai-juin) »
- Augmentation de la surface de luzerne
L'augmentation de surface allouée à la luzerne s'est faite suite à une demande plus importante. En effet, la luzerne est vendue à un des voisins d'Alex Franc, éleveur voisin non bio qui a récemment augmenté son cheptel et a besoin de plus de foin.
De plus, une prime PAC existe pour la mise en place de luzernières. Enfin « la luzerne permet de nettoyer les parcelles des mauvaises herbes lorsqu'on fauche au moins 3 fois par an. »
- Abandon du tournesol
Le tournesol a été abandonné car « c'est une culture salissante », en effet, elle entraîne le développement de Lampourde à gros fruits (Xanthium strumarium). De plus, les semences pour les hybrides sont trop chères pour l'arboriculteur.
Evolution des projets
2014 |
Etat des lieux en 2017 |
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Création d'une parcelle agro-forestière en 2015 Le projet est de planter 500 arbres dont 240 arbres fruitiers et 260 arbres pour la production de bois. Les arbres fruitiers (pommiers, poiriers et cognassiers) seront greffés sur des sujets francs afin d'avoir un verger haute tige. Les arbres pour le bois seront taillés en trogne car avec cette taille les branches sont plus droites et il est plus facile de les broyer pour fabriquer du BRF. Les rangs seront espacés de 28 m et il devrait y avoir 6 m entre chaque arbre (écartement non sûr car dépend de la taille du matériel qui doit passer entre les deux arbres). Le rang sera enherbé d'un mélange de légumineuses (minette, luzerne et sainfoin).
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400 arbres (0,5 ha) ont été plantés sur 8,5 ha. En 2016 de la luzerne a été implanté pour 4-5 ans. La culture se fait en sec. Il y a 30 m entre les rangs et 8 m entre chaque arbre. |
Arrêter l'achat d'engrais organique et apporter uniquement du BRF. Lorsque les haies implantées auront leur taille adulte, la fabrication de BRF se fera grâce à la location d'un broyeur monté sur un camion ou à l'achat d'un broyeur en CUMA (projet pour 2018)
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Projet toujours en cours. |
Investir dans un trieur afin de développer le semis de céréales sous couverture vivante de légumineuse.
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Alex Franc n'a pas eu le temps de faire les essais en grandes cultures (semis sous couvert), le projet reste en tête mais pour l'instant l'arboriculteur est concentré sur d'autres projets (introduction de légumes dans les vergers par exemple). |
Nouveau projets |
2017 |
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Introduction de volailles sur le verger pour 2020.
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L'idée est d'apporter de la matière organique sur le verger et de diversifier les productions par le biais d'un poulailler mobile. |
Création atelier de transformation en 2018-2019.
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Dans une partie du hangar, Alex Franc souhaiterait aménager un atelier de transformation afin de revaloriser les invendus en produits locaux faits maison : compote, confiture, quiches. Ce projet nécessite de la main d'œuvre supplémentaire ainsi que du temps. |
Implantation de châtaigniers dans les haies.
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En 2017, des châtaigniers ont été plantés dans les haies autour des parcelles. Suite au gel, ils seront replantés au cours de l'année 2017. La culture se fera en sec avec possibilité d'arroser si besoin. Ce projet s'inscrit dans le cadre de l'augmentation de la biodiversité ainsi que dans la diversification des productions. En effet, Alex Franc a remarqué qu'il y avait une demande importante en frais pour les châtaignes. |
Evolution des pratiques agroécologiques
2014 |
2017 |
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Paillage plastique |
Arrêt du paillage plastique |
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Historique des équipements
Bâtiments:
2014 | 2017 |
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Lieu de vente à la ferme
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Lieu de vente à la ferme
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Salle de conservation des pommes équipée de palox en bois et de palox étanches (Mat Tempio) pour avoir un air sans oxygène et assurer la bonne conservation des pommes
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Salle de conservation des pommes équipée de palox en bois et de palox étanches (Mat Tempio) pour avoir un air sans oxygène et assurer la bonne conservation des pommes
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3 chambres froides d'une capacité de stockage de 100 T de pommes
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3 chambres froides d'une capacité de stockage de 100 t de pommes
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Atelier de transformation en jus de pomme avec pressoir et stérilisateur
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Atelier de transformation en jus de pomme avec pressoir et stérilisateur
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Hangar avec panneaux photovoltaïques
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Hangar avec panneaux photovoltaïques
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Bâtiment de 260 m2 : stockage du grain et du matériel, atelier |
Matériel :
2014 | 2017 |
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Sur le verger : irrigation au goutte-à-goutte avec électrovannes et filets de protection anti grêle et Alt Carpo
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Sur le verger : irrigation au goutte-à-goutte avec électrovannes et filets de protection anti grêle et Alt'Carpo
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Pour les semis : semoir à disques, herse étrille bineuse et déchaumeuse
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Pour les semis : semoir à disques, herse étrille bineuse et déchaumeuse
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Trieur en CUMA
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Trieur en CUMA
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Irrigation pour 10 ha en couverture intégrale(soja)
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Tracteurs : 1 de 70 CV, 1 de 75 CV pour le verger et 1 de 30 CV 2 roues motrices pour le verger
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Tracteurs : 1 de 70 CV, 1 de 75 CV pour le verger et 1 de 30 CV 2 roues motrices pour le verger
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Camionnette de livraison
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Camionnette de livraison
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Nacelle automotrice pour descendre et relever les filets Alt'Carpo. |
- Arrêt de la culture de soja donc arrêt de l'utilisation de l'irrigation en couverture totale mais matériel toujours en propriété.
- Acquisition d'une nacelle automotrice pour descendre et relever les filets Alt Carpo
Evolution des radars Dialecte
2014
2017
Autres indicateurs agroenvironnementaux :
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2014 |
2017 |
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Emission de GES (kg CO2/ha SAU) |
740 |
657 |
Stockage de C/Emission de GES (%) |
81 |
38 |
Entre 2014 et 2017, on observe que dans la globalité, les performances agro environnementales ont la même tendance. On remarque cependant une amélioration de quelques indicateurs :
- Le solde de N
- La couverture du sol
- La surface des IAE