Économiques |
- Réduction des coûts de production,
- Réduction de la charge de travail (en particulier dans les systèmes pâturant extensif)
- Pâturage à l’herbe : économie de place en bâtiment et de charges de mécanisation liées à la récolte de fourrage ou à sa distribution à l’auge.
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- Durée de finition plus longue à l’herbe qu’à l’auge, donc un besoin de trésorerie renforcée, en particulier pour l’engraissement des bœufs (longue durée)
- Production de l’herbe soumise à aléas climatique
- Valorisation économique de la qualité de la viande obtenue difficile dans les filières longues
- Immobilisation plus longue des surfaces, un besoin accru en surface
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Techniques |
- Augmentation de l’autonomie protéique
- Valorisation possible de surfaces en pente/éloignées
- Pâturage à l’herbe : permet d’éviter les phases d’enfermement plus sujettes aux risques sanitaires
- Une viande de très bonne qualité nutritionnelle/ diététique
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- Finition à l’herbe de printemps délicate avec une herbe riche en azote et en eau
- Gestion fourragère « technique » pour optimiser la qualité de l’herbe (taux de protéines, valeur énergétique),
- Rendements variables
- Fluctuation de la production fourragère au regard des aléas climatiques : variabilité interannuelle
- Finition à l’herbe pouvant induire une baisse de chargement.
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