Les points de blocage

  • La proximité des abattoirs

L'abattoir dans lequel les éleveurs avaient l'habitude d'aller a fermé. Il était à 25 minutes. Désormais il faut plus du double de temps pour amener les animaux. De plus le trajet dépasse le rayon des 50 km du périmètre réglementaire européen sur le transport des animaux vivants. Il faudra alors pour un des deux éleveurs passer une certification et un agrément de véhicule. Ce qui implique du temps et de l'argent.

  • Les cultures

Il y a encore des problèmes d'implantation et de levée. Les résultats sur les céréales sont encourageants donc l'amélioration se poursuit. Les résultats sont meilleurs qu'en semis-direct où très peu était récolté.

Par exemple, « l'échec » du semis direct de 10 ha en 2017 .

  • La commercialisation

En 2014 des discussions avait été tenues avec des magasins du réseau Biocoop. Quand Jonathan les a relancé en mai 2015 suite à la conversion au Bio, il ne pensait pas que ce serait si long et si compliqué de pouvoir vendre ses produits à proximité. En effet, les magasins relocalisent les fournisseurs et se fournissent dans une coopérative BIO en Dordogne. D'ici 2018 deux Biocoop devraient proposer les produits de l'exploitation.

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