Son principal problème ? Ce sont les bruches. Il pense à le régler via des associations culturales (comme de l'avoine blanche avec de la féverole) qui pourraient lutter et/ou éloigner les ravageurs. Cette technique lui permettrait d'allier avantage économique et pratiques agroécologiques. « Le meilleur moyen de briser une incertitude est de la tester ».
Il souhaite aussi réussir une culture de lentille sans labour mais cela reste très difficile d'un point de vue technique. Il s'est donc résigné à travailler son sol pour quelques cultures qui l'obligent à un labour « intelligent ».