Avoir la meilleure valeur ajoutée pour nos produits
Avoir une valeur ajoutée maximale sur les produits (tout vendre en direct, fixer les prix en fonction des demandes et des prix fixés par les voisins)
Transformer les produits (céréales, haricots, pois chiche) pour vendre toutes les productions en direct (sous-traitance pour la transformation)
Développer une économie fermée, basée sur l'autonomie et le local : Être indépendants des produits extérieurs dont les coûts peuvent varier (intrants azotés, produits phytosanitaire, semences)
N'acheter aucun intrant
Mutualiser les coûts de mécanisation grâce à la CUMA
STRATÉGIE AGRONOMIQUE
Tout faire pour créer un cycle vertueux
Être très technique pour chaque atelier de la ferme et chaque culture
Créer des ateliers inter-dépendants et donc complémentaires : les céréales nourrissent les brebis et les poules, qui fertilisent les vergers et les prairies…
Avoir une marge de manœuvre pour les surfaces en prairies et le troupeau pour ne pas être limité par les ressources en fourrages et devoir acheter du foin
STRATÉGIE ENVIRONNEMENTALE ET SOCIALE
RÉSILIENCE
Créer des parcelles de moins d'1ha
Diversifier les productions : faire de la polyculture élevage
Installer en surdensité des infrastructures agroécologiques (haies, mares, tas de bois, nichoirs, abris, perchoirs..). Cette surdensité se définit par le fait de multiplier par les 3 ou 4 les références bibliographiques. Autrement dit, si les références disent qu'il faut implanter 2 nichoirs par ha pour accueillir les mésanges charbonnières, l'idée ici est d'en mettre 8. L'objectif, observer si cette surdensité n'active pas d'autres équilibres écologiques avec la présence d'autres espèces d'oiseaux.
Mimer les règles de l'écologie pour créer un équilibre écologique, qui permet une régulation des bioagresseurs sous le seuil de nuisibilité et sans intrants